jeudi 26 février 2009

Episode 28 - Le destin?

Donc voilà, vacances, etc, tout le monde squattait plus ou moins comme il le voulait à la maison.

Une ère de glande, de films, de pizza et de spaghetti.

Bref, c'est donc normal que je remmène quelqu'un à la gare.

13 h, réveil, on va partir, la tête dans le cul, trop la flemme de remonter à l'étage pour des chaussettes, mais bon, pour max 40mn, ça ira, tranquille.

On part, je passe devant la gare, j'ai deux choix, la double file, et attendre, ou bien, faire le tour et se garer vite fait sur le parking, en plus, tranquille, je vois une place.

Bon, j'ai envie de sortir de la voiture pour déposer et récupérer des gens, c'est plus conviviale etc, donc je choisis, bien évidemment, d'aller sur le parking. Un petit tour, on roule à 15km/h, en première, pépère on est pas pressé, et c'est donc, bien entendu, le bon moment pour que, sur une priorité douteuse, que je percute une autre voiture.

Bref, personne n'a rien, aucune voiture ne peut repartir, tout va bien, et, même si la perte de ma voiture, le fait de devoir faire masse paperasse et tout et tout me detruit le moral façon Roule-Mort, on fait avec, mais je me dis quand même, qu'il y a des choses qui me font largement penser que c'est peut être plus que de la male-moule.

1 : Pas de chaussette, et à cause de cet incident, des heures de souffrances pour mes pieds.

2 : Ca arrive uniquement devant la gare, de cette manière là, ça n'importunera pas mon passager qui aura son train dans les temps.

3 : La première personne à laquelle je pense pour nous dépanner se trouve justement être en ville à ce moment là.

Donc en fait, c'est juste pour détruire la voiture que la vie m'a donné cet accident, et peut être pour me forcer à ne jamais avoir la flemme en terme de chaussettes. Et pile poil quand mes parents sont pas là. Halala... Quelle galère.

jeudi 19 février 2009

Episode 27 - La légende du pisteur Chartreux.

Il était une fois, un homme, jeune, fou, fourbe, couard et incroyablement imaginatif, mais il avait par dessus tout un talent qui le distinguait des autres, il avait un sens de l'orientation, et un instinct de la bonne direction qui rendaient subjugué même le paysan local.

Il commença très tôt à ne pas se représenter par où il passait, comment revenir, ni même l'orientation qu'il prenait. Ses premiers fait d'armes étaient impressionant, et le propulsèrent dans sa carrière. Une de ses préstations la plus connue fût de perdre un groupe de parisiens dans Bruxelles. Un autre de ses actes consista simplement à perdre des orléanais dans Orléans même.

Bref, d'où m'est venu cette idée de vous narrer cette légende locale, et bien c'est car je viens de recevoir une nouvelle aventure de cette personne.

"C'était lors d'une nuit noire, noire comme on en voit plus depuis l'invention de l'eléctricité, il venait de prendre de quoi faireà manger pour un ami, et allait donc chez cette personne. Il commença à suivre les panneaux afin de prendre la bonne direction, il était supposé connaître les lieux, il vivait par là. Alors qu'il s'enfonçait peu à peu dans la campagne profonde, il ne vit plus aucun des panneau de direction. "Ca doit être tout droit alors." Et il continua, encore plus profondément, jusqu'à percevoir des noms de villages dont l'existence lui paraissait invraissemblable.

C'est alors qu'il décida de se rabattre sur la droite, cela aurait logiquement dù, d'après son sens de l'orientation, le ramener vers des coins plus connus. Mais les choses empirèrent, et il fut contraint de revenir à son point de départ, afin de faire un détour, mais un détour dont il connaissait le chemin à suivre au moins."

Voilà, ça en gros, c'est 45 mn de voiture au lieu de 15, et encore, je parle pas de l'arbre carnivore mangeur d'hommes qui m'a agressé à la suite de ce trajet.

Sacré soirée diront nous.

mardi 17 février 2009

Episode 26 - Les verbes.

Les verbes, c'est vachement surfait. Là par exemple, on vient de me sortir "Je me gausse."

Mais ô dieux! Infectitude d'antant, quel être décharné pourrait donc avoir recours à un verbe aussi vieux! Qui penserait encore à l'utilisation d'un tel verbe. Ce pourrait-il que du fin fond du monde des verbes, "lire" est tombé sur un livre et c'est mis à le lire dans le vieux cimetière indien? Le nécronomicon des verbes, sûrement un Becherelle des années 80.

Bientôt des hordes de verbes zombis vont se ruer dans nos conversations, "Tu te pames?", peut être même que les conjugaisons du septième cercle de l'enfer seront de retour, "Encore eusse t il fallusse que vous le sachiasse!".

Mais, si les verbes ancestraux se phrasent à nouveau, je pense qu'ils ont été réveillés dans un but précis. Et c'est le vieux françois d'autrefois qui doit se retourner dans sa tombe, que doit il penser de la nouvelle génération, corrompue par les verbes Kiquoullaul. L'invasion des Kiquoullaul n'est en effet plus à démontrer, ils s'insinuent même dans les conversations autres qu'internetiennes.

Exemple flagrant : "josef, osef, osef, osef, osef, osef"

Une calamité, mais je sais toute l'histoire.

En effet, lors de la création d'internet, le vortex Flemme fu créer, au départ tout petit, au fur et à mesure de son utilisation, il grandit, il est même désormais suffisament gros pour le verbe "je gauss" =  "je fabrique un canon gauss, donne moi deux seconde"

Bientôt des verbes tels que "krdy" = "être prêt", ou bien d'autre seront usuels, et on s'en servira normalement.

C'est pour cela que nous avons cédé le nécronomicon au monde des verbes, et à bon prix. Il faut récussiter les verbes du passé!

Episode 25 - Le travail n'est pas la santé.

Voilà, on va continuer sur cette lancée de spam, n'ayant pas encore eu d'écho négatif, on supposera qu'ils sont positifs.

C'est donc parti pour un nouveau sujet ininteressant, mais qui reste malheureusement à définir.

Parlons de travail? En effet, pas plus tard qu'une dizaine de minutes, un collègue de classe m'informe qu'on a des test à faire pour vendredi midi, de une heure chacun. C'est moche quand même, on est en vacances. Mais bon, faut bien le faire, et bien entendu, il faut le faire à contrecoeur.

S'enjouer pour faire du travail, c'est comme être heureux et faire part à tout ses amis de son bonheur quand à se jeter sous un train... Bon, métaphore farfelu, espérons qu'elle soit passée. Enfin bref, le travail, c'est comme un anti accomplissement personnel. En fait, techniquement c'est un accomplissement personnel, mais disons qu'il est du mauvais côté de la force. On a le droit d'être fier d'avoir réussi quelque chose, mais il ne faut jamais ô grand jamais être heureux d'avoir travailler.

Il existe plein de chose pour se sentir bien au travail, un salaire, des collègues, de la musique, des défis, mais jamais ça ne sera l'action de travailler en elle même qui vous satisfera.

Par exemple, vous voyez, ecrire ce blog, c'est pas un plaisir, en lui même c'est juste du traitement de texte, et ça à rien d'amusant, mais ça permet de libérer l'esprit vous voyez. En fait, n'ayant pas de collègue dans ce travail, il faudrait que je demande un salaire à l'Etat, genre service public déclaré. Après, je pense pas que j'ôserai leur demander, cette image de l'Etat avec des huissiers et des avocats de partout reste relativement problématique.

Bref, allez travailler parce qu'il le faut, payer les retraites, etc,... mais pitié, ne le faîtes pas par plaisir.

Et, chers fans, dîtes moi que vous aimez ce que je fais.... :'(

Episode 24 - Quand y en a plus y en a encore.

Eh ouai, deux articles en même pas deux heures, mais où va-t-on?

Bref, je pense que le fait que je sois dans mon lit, à écouter de la musique et à ne pas avoir sommeil, et à avoir un lecteur de cd sur ce pc portable incapable de lire les quelques dvd que je lui donne doit jouer en faveur de glandage sur internet.

Mais dans ce cas, pourquoi le blog? Il  y a tellement de choses à faire sur internet, tellement de vidéos stupides à voir, d'animés à regarder... Mais avec la connexion aussi lente de ma campagne profonde, cela me parrait proche de l'iréalisable.

Mais il reste les scans, d'autres blogs, des forums sans intérêt.

Ouai, mais bon, au moins ça, je sais que ça divertira de pauvres personnes qui piqueront du nez demain matin alors qu'elles essaieront de travailler, quelque part, je sais que je rends service à une certaine catégorie d'individu. Car oui, c'est important de se sentir utile. Rendre meilleure la matinée de travail des gens est presque devenu un devoir pour moi. Mais l'inspiration étant chose rare et le temps étant une chose presque contraignante à économiser, ce n'est pas simple d'effectuer un tel travail bénévolement et journalièrement.

Là par exemple, vous voyez, peinard comme je suis, en train d'écouter du jazz, je ne prête guère attention à ce que j'écris, d'ailleurs je ne me rappelle déja plus de l'article précédent, c'est dire. Certains diront, tu es accablé par la fatigue, tu as trop de responsabilité, délègue ton travail, mais non, c'est ma mission, c'est mon blog, c'est à moi de satisfaire des dizaines de lecteurs en délire (en encore, vu le nombre de commentaire, je pense qu'on est loin de la dizaine de spectateurs).

Je dirais, que à cet heure, et avec l'état de fatigue que j'éprouve, et surtout, avec ma mémoire désormais transformée en mémoire flash (3 secondes max, je dirais), c'est comme si mon cerveau c'était fait violé, un peu comme si je sortais de quatres heures de math, ou bien de quatres heures de Cisco. Mon cerveau est à peu près comme ça. Liquéfié. Il est d'ailleurs bon que personne ne soit près de moi à souffrir de mon humour déplorable.

Bref, je disais donc, j'aime rendre service. Et c'est tout à mon honneur, enfin je crois. Parce exemple ce soir, j'ai été chez un ami, j'ai amené les ingrédients, et j'ai cuisiné. Incroyable non, et là dans ma tête, je viens de me dire, "Mais putain, c'est presque de la prostitution ça!".

Mais oui! Je suis un génie! Un nouveau système de prostitution! On va chez les gens, et on leur fait à manger. Techniquement, je pense que le système est similaire, reste plus qu'à se faire payer. Je dirais que en plus de ça, y a moyen de rendre le métier légale. Par contre faut aussi voir que ça doit pas non plus être facile comme métier. Et niveau rendement, pas top non plus.

Ca tombe bien, en plus, moi qui est envie d'être entrepreneur, faut vraiment que j'étudie le projet. En plus, pour la cuisine, je suis sûr que je peux compter sur des collaboratrices sur le secteur d'Orléans.

Holala, comment se sentir génial après une demi heure de débauche mentale... Je suis presque fier de moi.

Sur ce, au plaisir à bientôt.

Episode 23 - Parental Advisory Explicit Content

Bon, bah chose promise chose due, et un article sur les parents, un!

Bon, bah on  va commencer dans le basique, les relations enfants parents et tout ce qui attrait à l'éducation, enfin plus ou moins.

Heureusement, mes parents n'y connaissent rien aux nouvelles technologies, ne se demandent pas ce que je peux faire sur internet, et encore mieux : ils ne connaissent pas mon pseudo, et il leur sera donc impossible de remonter à moi d'après ce blog. Enfin c'est ce que je pense, et tout traître à ma cause sera sévèrement châtié! Me dénoncer à mes parents est passible de souffrances qui feront passer l'inquisition pour une organisation d'enfants de coeur.

Bref, revenons dans le sujet, l'éducation.

Il y a tout d'abord les valeurs que veulent nous inculquer les parents, telles que la gentillesse, la politesse, le travail, etc... Bref, dans ces valeurs, il y a celles qui passent, et celles qui sont risibles. Bon, celles qui passent sont généralement positives, du moins si on nous enseigne les valeurs qui nous rendent plutôt populaires. Et celles qui ne passent pas seraient plutôt le travail, la vérité, bref, les chôses que tout bon français ( traduire ici comme faignant ) verrait comme malvenue.

Qui a déja vu un enfant préférer finir ses devoirs à aller faire des bétises? Et je ne parle même pas de quel enfant dirait la vérité sur une chose telle que : "je ne travaille pas en cours et je passe mon temps à dire de la merde sur un blog" (oui, c'est du vécu ça, et bien entendu je leur dis que je travaille, je tiens à la vie).

Après, dans l'éducation, je dirais que plus que récemment des problèmes graves apparaissent, et en particulier à l'école, qui fait pas loin de 25% de l'éducation d'un enfant. Un prof ne peut plus mettre de baffe à un élève, vous trouvez ça normal? Maintenant un élève ne doit plus aucun respect envers un professeur. C'est immonde, comment un enfant peut il devenir discipliné?

Bon, moi je m'en moque hein, je tabasse les gosses même si c'est pas les miens, ok, j'ai pas de gosses, mais j'suis comme ça, qui aimerait qu'un morveux lui crache dessus car il ne risque aucune représaille.

C'est de la grosse façon d'agir quand même.

Bref, là j'entre dans un débat tendu, avec les pauvres gens qui estime qu'une baffe provoque la destruction mentale et physique du petit cherubin de 12 ans qui viens de vous insulter, comme si il venait de recevoir une bombe H par le fion. Qui pourrait lutter face à de tels arguments? Hein? Honnêtement, une quinzaine de baffe ne suffirait même plus dans un cas aussi desespéré.

Changeons de débats. Je vais parler de mes parents. Car je les adore. Bon ok, des témoins pourront dire que j'insultais mon père il y a encore quelques années, mais ça, je vais dire, si je l'avais pas fait, je m'entendrais pas aussi bien avec lui. Mais c'est pas pour autant que j'insulterais un vieux dans la rue. On m'a au moins inculqué le self-control.

D'ailleurs je fais faire la liste des choses que m'ont inculqué mes parents :

-le self-control

-le respect

-la galanterie

-la cuisine (je dirais que j'ai assimilé 30% du programme)

-le ménage (5%)

-l'hygiène (60%, les dents, c'est pas vraiment ça....)

...

Je vois pas trop quoi d'autre, mais bon. Je dirais que ma soeur et mon expérience personnelle ont ruiné les premiers des points cités précédemment.

Bon, bah voilà, il est 3h04, je sais pas quoi dire d'autre sur ça, je sais même plus de quoi je parlais au début de ce sujet, mais bon, une fois de plus je suis parti à dire tout et n'importe quoi.

Merci public,

A la prochaine.

samedi 14 février 2009

Episode 22 - This is the end!

Et boum! Resultats des partiels tombés! Et c'est la méga sauce! 10, 50 de moyenne environ. DU BONHEUR en barre, qui l'eu cru? C'est la joie, tous mes fans sont en délire, je suis au bord des larmes.

Mais, en même temps, j'ai perdu le pari de la plus basse moyenne, et haut la main, en me classant 12ème. C'est la déception ! Mais, j'ai trouvé la parade! En effet, il y a eu fraude. Et je peux le prouver! Je soupçonne bien entendu mon concurrent direct, Luc, le vilain et narquois cammarade de classe qui ferait tout pour ne serait-ce qu'une victoire contre le génialissime Docteur Hareng.

La lutte est acharnée, et il ne m'aura pas comme ça, en effet, je l'accuse d'avoir illégalement payé notre professeur de finance afin que ma note de TP soit de 15! Rendez vous compte, le sujet étant : tester un logiciel pour voir si il répond au critères de comptabilité, et, ma conclusion étant :

"Je suis encore désolé monsieur de ne pouvoir fournir plus, mais je n'ai
strictement rien compris à comment fonctionne ce logiciel, et encore moins l'intérêt
de tester un logiciel aussi pauvre."

Il m'a mis 15! Pour un total de 20 putain de pauvres lignes sur un fuckin'PDF! Mais allo! Arrêtez le délire! On l'a payé!

Mais bon, c'est pas l'essentiel. J'ai acquis l'inespéré : LA MOYENNE!

Y a plus qu'à le dire aux parents qui vont encore demander les explications... les parents.... faudra que je fasse un article sur ça....

Episode 21 - Le JDR, toute cette pression

Bah voilà, une soirée JDR de plus, les gens pourraient croire que je suis un pur rôliste qui joue souvent, mais non, c'est faux! Je ne joue qu'exceptionnellement, et contrairement à ce qu'on en pense, il n'existe aucun lien spirituel créé par un quelconque dieu du Jeu De Rôles qui uni tous les rôlistes entre eux. Et tant mieux, ça sert à rien.

Même si la plupart des rôlistes s'impliquent trop dans leurs personnages et ne souhaitent pas la mort ou la mort d'un coéquipier qui pourrait leur apporter tant. Noooooooooon! Bien sûr que non, la mort dans un jeu de rôles est synonimes de libération. Par exemple, pendant une soirée de jeu de rôles, vous avez pas dormi depuis des jours, bah suicidez vous, et allez dormir.

Il y a aussi une volonté de s'exprimer librement, par exemple, jouez un drogué qui se bat avec un encensoir à drogues, c'est marrant, MAIS, du coup, vous devez regarder les autres avoir les idées, et c'est pas toujours acceptable de ne pas pouvoir donner son idée, car, comme dans la vraie vie, réfléchir en temps de crise, c'est pas évident, enfin, plutôt, les idées qui germent sont toutes considérables comme nuisant à la population. Par exemple, les merveilleuses drogues de bataille font en sorte qu'une dizaine de personnes deviennent folles et chargent, et bah là, les deux qu'on rien se doivent de savoir quoi faire avec un train (ou camion, car pas de rail), des explosifs, et une usine qui fabrique des robots tueurs. Eh bah ça leur prend une dizaine de minute aux bas mots, mais l'idée qui a germée est tellement nulle qu'ils auraient mieux fait de se battre.

Mais bref, c'est pas important, mon but à moi est bien entendu de tuer et d'avoir l'air fou.

Mon voisin de table me trouva d'ailleurs trop impliqué et eu du mal à survivre à mes jeux de mots. Il faut oui bien sûr connaitre mon talent particulier pour les blagues avant de juger. Mais toutes les survivants pourront vous dire que les tortures de l'inquisition étaient vraiment de la gnognotte comparé à une soirée où je suis fatigué.

En effet, plus je manque de sommeil, plus je suis... pénible. Et ça, c'est pas mes camarades de classe qui me contrediront. En particulier Rina, qui est la première de tous mes délires particuliers, pétages de câbles.

Voilà. Je ne sais pas trop ce que ça donne, mais je pense que c'est l'article le plus ininteressant et le plus insignifiant de tout ce merveilleux blog. Enjoy!

jeudi 12 février 2009

Episode 20 - Fatality

La vie, comme certains jeux videos à elle aussi ses fatality.

Aussi appellées "Coup de Grâce", "Finish Him", "Padbaule".

Ces évènements sont souvent attachés aux personnes qu'ils visent. Si ce genre d'évènement vous arrive, vous en aurez de plus en plus et ce exponentiellement. Un coefficient est bien sûr associé à ces petits scénario de la vie. Sinon il serait trop difficile d'étaler tous les évènements d'un être Padbaule dès la naissance sur sa vie entière.

Comment décrire ces évènements... Le mieux est encore de donner un exemple qui montrera l'archanement qu'a la vie sur vous.

Exemple :

Vous êtes chez vous, c'est les vacances, vous n'avez pas à aller travailler. Réveillez par la tondeuse à gazon du voisin. Car il est d'évidence qu'un bon voisin est un voisin qui allume sa tondeuse à 7h30 pétante. C'est chiant, mais sa arrive, vous décidez donc, que tant qu'à être réveillé, vous pouvez aller vous poser pépère devant la télé, c'est pas trop chiant, ça mange pas de pain, et ça vous reposera et vous détendra. Première étape à cela : sortir du lit. Vous cherchez à allumer la lumière, car vos volets sont fermés bien entendu, et là, c'est le drame, mais comme personne n'en parle, vous faîtes tomber votre lampe de chevet de la table de nuit, et bien entendu, vous entendez le verre se fendre et s'éparpiller là où vous devriez poser vos pieds... Normal!

Vous faîtes le tour, sortez de la pièce, vous dirigez vers un canapé, et c'est parti pour la sieste devant la télé, mais là, à peine la télécommande acquise par vos doigts experts que les piles sautent hors du boîtier et roulent sous le buffet intestable de la sudden death.

C'est ça une fatalité, par toujours aussi pénible, mais globalement suffisament affeuse sur le moment pour faire passer le décès de votre poisson rouge Bully lorsque vous aviez huit ans pour de la gnognotte.

Attention, déclencher de votre plein gré une fatalité en prévoyant les choses est dangereux, car elles pourront allez beaucoup plus loin que vous n'auriez imaginer.

Tout le monde en subit, c'est la loi de la nature, plus vous en aurez dans votre vie, plus le Coup de Grace arrivera tôt dans votre vie. Vous savez, la fatalité ultime. Bref, la mort. C'est pas rigolo, mais une fois que vous aurez testé cette fatalité le choc, je suis sûr que vous en redemanderez. Qui n'est jamais devenu sado masochiste après des années de fouet? Hein? Alors arrêtez de voire votre mort comme une chose mauvaise et nefaste. Moins on sera nombreux, moins je paierais d'impôts!

Si vous êtes retraités, que vous avez plus de 70 ans, cessez de vous accrochez à la vie.

La Dead Fish Corporation mis au points à ce sujet une invention merveilleuse, la canicule, et tout ça en faisant passer la chose comme naturelle. Une merveilleuse époque. Mais des reliques antiques, et depuis leur utilisation récente désormais vénérées à nouveau, mirent à bas le plan de l'ingénieux Docteur Hareng. Leurs noms? Ventilateur et Brumisateur. Mais leur histoire, eh bien c'est une autre histoire.

Pour les petits curieux, la Dead Fish Corporation à mis au points un tout nouveau prototype, beaucoup plus ciblé, et ma foi, les test sont plutôt concluants.

Jugez vous même ce test effectué sur un vieux retraité tibetain consentant : http://www.sonypictures.com/movies/2012/

mardi 10 février 2009

Episode 19 - Le vent

Mardi - 07h41 am

Ouai, en ce moment à Bordeaux, c'est la tempête, une sorte de vent de malade mental. Toute la nuit, j'ai presque pas pu dormir, et là, je vais devoir aller en cours, c'est quand même vachement frustrant. Bien entendu, au départ, on est pas le seul, et on spam les gens eveillés, et le meilleur moyen de les empêcher d'aller se coucher, c'est de leur dire les choses monstrueuses qu'il pourrait se passer pendant leur sommeil, genre le poteau qui se détache pour venir vous empaler, l'arbre qui vous tue dans votre sommeil.

Mais quand bien même, après des heures de manigances machiavéliques, ils vont se coucher, et là encore, il n'est que minuit. Donc bon, on se pose dans son lit, on attend, on ferme les yeux, on met un peu de musique douce.

Le réel problème, c'est mon appart donne sur une sorte de cours fermée, donc disons que les volets font un bruit semblable à l'orage, et que dans ces conditions, il est impossible de dormir. Donc bon, on se lève, on se pose sur le pc, aller sur internet, check ses mails, etc,...

Mais là où le meilleur reste à venir, c'est qu'en cette nuit venteuse, ma connexion devient d'une faiblesse immonde, le simple fait d'ouvrir une page web complètement devient un exploit, et il ne reste plus qu'à rerevoir des séries, des anims, des bds, écouter de la musique, enfin, des choses qui semblent avoir été faites un milliard de fois. Donc on trouve ça ennuyeux, on se focalise sur le vent, cette saloperie qui m'empêche de dormir.

Après tout cela, et de mûres heures de reflexions, on en vient à s'imaginer les meilleurs scénario du monde :

-ne pas pouvoir sortir de chez soi à cause du vent

-sortir quand même, sauver une jeune et jolie damoiselle en détresse d'un panneau publicitaire (la suite du scénario restera personnelle)

-au moment de sortir, recueuillir une jeune femme bloquée par le vent, et ce, COMME PAR LE PLUS GRAND DES HASARDS DEVANT CHEZ VOUS

Mais après ces scénario alléchants, nous avons l'arrivée inévitable du scénario catastrophe :

-je vais en cours car y a plus de vent ou tout comme, et avant de rentrer des cours, le vent devient tellement fort que je suis bloqué à l'école.

Et là, ce matin, en me levant après quelques heures de sommeil dûrement arrachées, j'ai ouvert la fenêtre pour voir dehors, avec un grand sourire qui dit implicitement : "une rafale et c'est journée maison", et bien rien, niet, pas même un cheveu qui se soulève. Et bien sûr, comme par hasard, la première chose qui vous revient en tête, c'est pas le scénario numéro deux, non, si seulement, c'est bel et bien le scénario catastrophe.

Et pour le coup, là, comment dire, mon envie, pourtant à la base semi inexistante, d'aller en cours vient de dépasser le cap du néant, et je peux vous dire, que dans ce monde, le temps est à la reflexion, au doute, et à la prise d'une décision qui serait capable, si les astres en décident ainsi, de ruiner mon esprit et de le tourmenter jusqu'à la fin des temps...

(bien sûr il va sans dire, que même si tous les dieux se mettent d'accord pour me pourrir la vie avec un vent de tous les diables ce soir, plutôt braver la mort et rentrer chez moi que de choisir le hara kiri mental)

EDIT @ 08h11 :

Les forces terribles sont entrées en jeu, toutes les plus grandes forces terribles jamais crées se sont unies dans l'adversité :

-la paresse

-le lit propre, moelleux avec option deux oreillers et couettes (rated 5/10 by the Dead Fish Corporation (à partir de 3/10 c'est suffisant pour être décrété force terrible))

-le sommeil

-Patou (en effet, mon professeur d'analyse fait partit des forces terribles de ce monde qui vous incitent à commettre ce que dans votre coeur ne peut que sembler bien)

-and last but not least : j'ai des relans gastriques, qui me font dire que le lait oublié hors du frigo n'était pas recommandé cette nuit

Voilà, elles ont brisé ma determination, et même si, pour l'instant, je me suis résigné à n'y aller que cette après midi, qui sait ce dont elles sont encore capables...

dimanche 8 février 2009

Episode 18 - Faut secouer sinon...

... la pulsion elle reste en bas.

Et oui, je vais parler de mes pulsions, enfin mes pulsions, ça ressemble à un aveu de "je suis un désaxé mental", mais bon, tanpis.

Donc, ces pulsions, comment les décrire.

Vous savez, quand vous marchez dans la rue, après une dure journée de cours, et vous aimeriez vous défouler, vous croisez quelqu'un et ça vous horripile par le simple fait qu'il soit là, et vous aimeriez juste lui décocher un coup de poing. Ca c'est une pulsion de violence. C'est malsain, et j'en ai souvent pour les gens que je connais pas. Mais que quand j'en ai marre de la journée.

Après, j'ai tout un tas d'autre pulsions, et là ça devient grave.

Y a la pulsion de merde où, souvent quand je suis reposé et de bonne humeur consiste en : tout le monde il est gentil, alors tout souriant et tout gaiement on est gentil. C'est, comment dire, l'opposé de la pulsion de violence, et elle, j'arrive pas à la retenir, mais que je suis tout déchiré, elle est omniprésente, quelle dommage.

La pulsion craquage, @ pulsion je spam de la merde, marre d'un truc précis, donc mon cerveau craque, et je dis et redis des milliers de choses sans queue ni tête. Présente quand je manque de sommeil, elle est le fléau de mes camarades de classe.

La pulsion Mimi. C'est voir un truc mimi, et rester planté devant pendant pas loin de 5mn, avec un cerveau totalement vidangé pour ne pas dire totalement absoue de pensées. Avec bien sûr, si c'est un truc petit mimi et achetable, acheté cash (sauf si c'est vivant). Vous savez, vous voyez un petit chiot tout mimi dans la rue, et là, boum, annihilation des neuronnes grand sourire béant sur votre visage, vous ne pensez plus à rien excepté à cette chose ô combien mignonne.

La pulsion Hagaga..goumph... Je ne dirais rien sur cette pulsion. Lavage de cerveau automatique, et réchauffement planétaire.

Voilà, j'en ai sûrement plein d'autres que j'oublie, mais c'est les principales.

(les pulsions ménage et cuisine étant semi-inexistantes chez moi)

mardi 3 février 2009

Episode 17 - Les ptites annonces de Doc Hareng

Le Docteur Hareng, en collaboration avec la Dead Fish Corporation, vous propose en exclusivité et en avant première, sa toute nouvelle offre à un prix imbattable.

Vous pourrez GRATUITEMENT passez du temps chez le Docteur Hareng HIMSELF, et ce du 21 au 27 février (voir 28 selon disponibilités). Vous aurez le loisir de lui apprendre à cuisiner et même d'apprendre une ou deux de ses recettes secrètes (Best Croque-Monsieur ever cooked even from outer space).

Vous pourrez également profiter des forfaits remontage de moral ainsi que celui d'annihilation des capacités de compréhension logique et de raisonnement cohérent, tout comme le forfait de outbraining total.

N'hésitez plus, Docteur Hareng se fera même un plaisir de vous emmener pas loin et même d'aller vous chercher (gare, Orléans, la campagne beauceronne profonde).

lundi 2 février 2009

Episode 16 - Retour au supermarché

Et oui! J'y vais souvent, mais là, une catégorie que j'avais plus où moins évoqué vient d'apparaître trois fois en une session, et pas une catégorie courante non, d'où le record mondial au m².

Et oui, pas loin de trois couple sur 10m², pour une durée de 1 minute et 47 secondes (environ).

Tous étant jeune, faisant les courses en amoureux. Que dire à part dévelloper un à un ces groupes. Et pourquoi pas expliquer quelques phénomènes de société.

Premier groupe :

Bah là c'est simple, la fille attend, le mec arrive avec un pot de je ne sais quoi.

"C'est pas la bonne marque.

_Bah vas la chercher toi même dans ce cas."

Elle lui laisse le panier.

"Mais qu'est ce qu'elle est conne."

Scénario clair, lympide même, le mec est un connard, mais ô mon dieu que fait la police? Tes insultes, tu te les gardes, et si t'es pas capable de mémoriser quels pot veut unetelle, bah ta gueule.

Et toi là, fais pas chier pour un pot de crême fraiche, soit gentille aussi.

Ca, c'est fait. Vous faîtes chier à tous tirer la gueule. Suivant!

Deuxième groupe :

"Oh tu veux manger quoi?

_Oh bah je sais pas, on prend quoi?

_Comme tu veux, tu préfères quoi?"

etc etc

Phénomène de mode! On est français, on est indécis, OULALA MAIS JE SAIS PAS CHOISIR.

Et c'est pareil pour 80% de la population. D'où le fait que presque personne ne souhaite devenir patron, tout le monde veut être salarié ou fonctionnaire, trop dur de prendre une décision, encore pire de l'assumer. (référence à Mr Galand, prof d'éco à ses heures)

Suivant!

Troisième groupe :

Le mec suit pas à pas sa copine et ne dit pas un mot, elle choisit tout, et il restera consentant jusqu'à ce que la mort les sépare (ou pire (3 (on vient de me dire via msn qu'en fait 4) rats dans une véranda est considéré comme pire)).

Bah c'est moche. Le petit laquet à sa maman, il va pas contredire l'autorité quand même. Parce que maintenant, c'est les filles que cogne du point et les mecs qui chialent. Triste monde j'vous dis. Triste monde. Enfin plutôt, triste pays que la France, parce que je suis pas sûr que ça arrive ailleurs.