dimanche 27 septembre 2009

Episode 98 - Le bonheur.

Si le bonheur devait prendre forme, que serait-il?

La question est méchante, et je dirais même impossible à répondre, mais si je devais me représenter le bonheur, je pense que j'arriverais quand même à en sortir une réponse. Dans tout ce que j'ai vécu, je dirais que la semaine au pays de Galles entre amis dans une immense maison, avec d'immense paysage presque vierge s'en rapproche beaucoup. C'est bien pour ça que je garde précieusement un petit ours en peluche Gallois sur mon porte clé.

Malheureusement, même si c'est le bonheur, il n'est pas total ou absolu. Le bonheur se décomposerait en différentes catégories qui devraient satisfaire les cinq sens, et aussi permettre de ressentir un bon nombre de sentiments.

- Le toucher pour commencer. L'herbe, le bois, la moquette, des trucs doux. Des matières chaudes. Le métal est froid là où le bois lui est chaud. Les maisons sont en bois et pas en métal, surprenant? Être entouré de métal est nocif. Pour se sentir bien, il faut être dans des endroits agréables au toucher.
- L'odorat : en gros, faut pas que ça pue, mais ça, ça paraissait évident.
- La vue : les grands paysages, la nature, le soleil,... Sans soleil, la joie aura du mal à atteindre ne serait-ce que 50% de son niveau maximal. La lumière est essentielle. Les pièces mal éclairées sont pénibles pour quiconque vit ou travail dedans.
- Le goût : le bonheur du goût pourrait être représenté par un kebab, mais là, je préfère ne pas m'avancer.
- L'ouïe : la musique, de la musique qu'on aime, n'importe laquelle. Sans musique, on détruit une de ses principales sources de joie. Néanmoins, la musique n'est nécessaire que si le silence n'est pas accessible. Par exemple, lorsque l'on vit dans une rue où de nombreuses voitures passent, que les voisins passent l'aspirateur, qu'il y a des travaux. Si on est tranquille, dans un silence agréable (petits oiseaux, cours d'eau, vent,...) la musique perd son intérêt. Si le silence est, au contraire, morbide (aucun bruit, des grincements de porte,...), qu'il ne comporte aucun signe de vie, il représente la solitude, et votre second meilleur rempart est la musique.

Fini pour les cinq sens, mais finalement, il y a d'autres choses qui sont nécessaires pour le bonheur. L'amour, l'amitié, l'absence de stress, l'absence d'obligations,...
On est aussi en droit de se dire qu'il y a deux sortes de bonheur : le bonheur en tant qu'émotion, court, éphémère, il restera comme un bon souvenir ; le bonheur long, une façon de vivre, le meilleur des bonheurs, mais quasi-inaccessible malheureusement.

Être rentier, dilettante vivre dans une grande maison à la campagne, perdue au milieu de la nature, avec ses amis, des animaux (chiens, chats), n'avoir aucun soucis, ne se préoccuper de rien. Cela s'avère bien entendu impossible, mais ça serait tellement bien...
Mais bon, vacances en campagne dans une grande maison entre amis. Court et parfait. Comment pourrait-on vouloir vivre autrement ses vacances pour le reste de sa vie?

jeudi 24 septembre 2009

Episode 97 - Une vie.

On a bel et bien une seule vie, donc au final, comment faudrait-il la vivre?
Il y a des milliers de manière de vivre une vie. On peut être pessimiste ou optimiste.

Il existe plusieurs critères sur lesquels on se fixe. La mort déjà pour commencer. On peut attendre la mort. On peut vivre comme si la mort pouvait arriver à tout moment comme une fatal error. On peut se dire que la mort c'est après 60 ans. Il y a des milliers de façons de voire les choses. Personnellement, je penche pour l'option la mort arrive n'importe quand, le truc c'est de faire comme si elle ne pouvait pas m'avoir jusqu'à la fin. C'est assez pitoyable d'ignorer ce genre de choses, mais au final, la fuite est ce que je fais de mieux, je suis pas trop motivé pour vivre dans l'attente de la fin. Un peu comme les film, pourquoi est ce qu'il faudrait attendre la fin? Non, on regarde un film pour le voir de bout en bout. Sauf si c'est un navet. Pour la vie, c'est pareille, si elle était si nulle que ça, ok, j'attendrais la mort.

Faudrait-il vivre au jour le jour? Vivre au maximum, à pleine vitesse, tout faire pour en regretter le moins? Ou bien alors tout planifier pour au final se retrouver dans une routine accablante et ennuyeuse? Pourquoi est-ce que les gens s'obstinent à  suivre le même schéma? J'aime me dire que je fais tout à l'arrache, que je ne planifie rien, juste une direction, une idée, peu précise et flou, mais qui au final si je la mène à son terme sera cool et sympatoche. Mais bien sûr, comme on part sans rien planifier, on est sûr que ça peut partir en live à tout moment. Mais pourquoi est ce que ça serait désagréable?

Le travail. Il représente 40% de notre vie. C'est ce qu'il faut choisir avec discernement. Il est primordial de faire ce qui nous plait. Travailler dans un bureau avec deux trois collègues qu'on n'apprécie guère n'est pas conseillé. Il faut faire très attention à ce que l'on va choisir. Il faut reconnaître qu'avec les études, entre autres, c'est pas évident non plus de faire ce qu'il faut.

L'amour. Je ne m'étendrai pas dessus.

Les amis. Tout repose sur eux. Il faut s'attacher à ses amis, il ne faut pas les perdre, c'est notre bien le plus précieux. Il faut être prêt à tout pour eux, car les vrais amis sont rares. La distinction doit être faite entre amis et copains, collègues, camarades de classes, etc. Les copains sont vos amis aussi, mais ils ne savent pas tout de vous, vous ne savez pas tout d'eux, et votre amitié peut disparaître subitement.

La vie, c'est une alchimie, on fait tous ce qu'on peut, le but n'est pas de survivre ou d'être le plus proche du sommet de l'échelle sociale. Ce qui compte, c'est de savourer chaque petit moment, même les moments difficiles.

dimanche 20 septembre 2009

Episode 96 - Jeu de rôle.

Le jeu de rôle, qu'est ce que c'est qu'est ce que ça nous apporte?

Comparé à la vie réelle, le jeu est beaucoup plus accentué, on se spécialise rapidement, pas besoin de réussir des études, on est ce qu'on veut, et on peut changer de personnage comme de chemise et pas par le biais d'une formation en cuisine. De même, par bien des aspects, il oublie des milliers de détails. Cuisiner, je lance un dé à 20 faces. OK. "6" C'est pas terrible, mais c'est mangeable. On attribue la note de son plat au hasard? Non. En fait, ici, on synthétise en une plusieurs actions : faire chauffer la poêle, mettre de l'huile, mettre la viande, réduire le feu, mettre la bonne dose d'épices, vérifier la cuisson, etc. Toutes ces actions sont faciles, 19 chances sur 20 de les réussir. En mettant bout à bout toutes ces actions, on a une vingtaine d'actions qui s'accumule. On ne va pas faire lancer 20 dés au joueur. Ça serait du sadisme pur et n'aurait aucun impact sur le jeu. Non, dans le jeu de rôle, on met tout ça aux oubliettes, on garde l'important, on enlève des choses qui entre nous soit dit restent ennuyeuses.

A quoi est ce que ça sert donc? Mes parents, lorsque j'étais collégien, me disaient que trop de rôlisme était nocif. Mais en quoi? Qu'est ce qui peut être malsain? Ce qu'on y fait? A l'époque j'avais répondu tout bonnement "tuer des orques", c'était un peu ça, mais sous ces mots se cache un acte bien plus complet et complexe qu'il n'y parait. Le jeu de rôle repose à 99% sur l'imagination de tous. Jouer une partie d'un jeu de rôle, c'est sombrer dans son imaginaire, passer du bon temps avec ses amis. Partager des idées farfelues et extrêmes, faire ce qu'on ne ferait jamais. Bien évidemment, les gens voient la violence en premier lieu. Pourquoi? Elle est beaucoup plus présente dans l'actualité que dans le jeu. Certes on tue, et alors? Quel pourcentage de rôliste s'est transformé en horde d'affreux tueurs psychopathes? Pour la plupart les rôlistes sont des gens posés. De nombreux articles appuient cette idée, comme notamment celui-ci : http://squiggle.be/index2.php?option=com_content&do_pdf=1&id=604
Oui, le jeu de rôle est bénéfique. Non, pratiquer la violence à outrance dans un univers imaginaire ne transforme pas en psychopathe bien au contraire. On se détache d'un monde réel où l'on se sent parfois mal ou en détresse. Et je pense que c'est vraiment la clé du jeu de rôle. Voir cette activité comme une échappatoire, c'est dans le font très pessimiste, mais tellement vrai.

Néanmoins, il reste dans ce monde des personnes qui s'échappent presque tout le temps. Qui fuient la réalité. Des personnes comme moi, à qui l'alcool ne fait pas peur.
Avoir un travail, les impôts, les horaires fixes, les patrons sur son dos, les collègues qu'on apprécie pas forcément toujours, ne pas être passionné. Pourquoi diable est-ce que les gens sont heureux de grandir? De ne plus être étudiant? De ne plus être insouciant? Pourquoi est-ce que les gens croient que l'objectif de la vie est de survivre?
Bref, vivement que j'ai ma boutique.

jeudi 17 septembre 2009

Episode 95 - Hareng président...

...un pays nommé Désir.

Si seulement... Si seulement cela arrivait un jour. Moi, président. Pauvres de nous, je pense déjà à l'anarchie qui règnera, le chaos dans les rues, la terreur dans les écoles,...
Mais ça, ce n'est que la façade des choses, je sais au fond de moi que je ferais de grandes choses. Des choses géniales, sublimes, faramineuses! Et pour citer un proche collègue : "Si un quelconque parti accepte ces idées, j’accepterai évidemment de le conduire à la victoire avec mes idées, mon équipe et leur argent. Ce sera un plaisir."

Ce genre de choses ne peut évidemment commencer que par une seule chose : un ministère!

Premier ministre : Amaury (what else?)
Ministre de l'intérieur : Yann
Ministre de la justice : Geoffrey
Ministre de l'éducation : Laurianne
Ministre de la culture : Marianne
Ministre de la santé : Guillaume
Ministre de la jeunesse et des sports : Romain
Ministre des affaires étrangères : Syara
Ministre de l'écologie : Katia

Rapide, succin. Évidemment, mon contrôle reste globale (l'éducation et la culture... ça va chier!).
Il va sans dire que la fête du travail sera remplacée par la fête du jeu. Il est évident que le travail n'a pas besoin d'être fêté. Notons aussi une révision totale du programme scolaire. Accélération notamment des cours de mathématiques. Modification des cours de musique et d'art-plastique pour qu'ils soient culturels et non pas ces farces à la flute à bec.

D'un point de vue de la santé et des médias, faisons table rase. Aux chiottes les propagandes, aux chiantes l'abrutissement des masses et le mensonge. Libérons le journalisme, donnons force de paroles aux journalistes investigateurs fiers de leur métier! De même, cessons la propagande des mannequins, VIVE LE SAUCISSON ET LES KEBABS!

Faisons de Blood Bowl un sport officiel, pourquoi est-ce qu'il serait interdit par rapport au catch ou à la boxe?

Pour la nature, plus de voiture? Non, peu réalisable. Alors laissons tomber, c'est pas mon secteur.

Pour la justice, je ferais un choix sûrement peu populaire, voir même je serais haïs de tous pour ce choix : on ban les criminels. Prendre perpet' reviendrait à un bon gros ban-life des familles. Zou, hors du pays, tu reviendras quand t'auras compris qu'ici c'est mieux.

Pour les affaires étrangères? Restons calme, pas besoin de guerre, on reste dans son coin, on supprime l'armée nationale en la transformant en européenne, et on suit le mouvement.

Ça me parait en soit déjà des projets raisonnables. On simplifie tout, on divise la paperasse par 100 et on arrive à un système simple rapide et expéditif.

mercredi 16 septembre 2009

Episode 94 - Femmes je vous aime (mais pas toutes).

Une fois n'est pas coutume, je vais répartir des gens en les mettant par catégorie. Évidemment, je garderais mon objectivé habituelle et ferais ces catégorie quoi qu'il en coûte. Je sais que chez les personnes dont je vais parler aujourd'hui les représailles sont dures, extrêmement violente même pour certaines. Oui, je serais une fois de plus un martyr pour vous apporter distraction et sourire, mais cette fois, au moins, je suis habillé (pull requis, il fait beaucoup beaucoup trop froid).

Bon, donc les femmes... Les classer, ouai, en se basant sur ce qu'on connait ça fait quand même pas mal de caricatures/clichés... Bon, en avant comme avant.

Les trop gentilles (également appelées "les niaises") :
Perdantes nées, tout le monde profite toujours d'elles à sa façon. Influençables au possible, se sont également les premières qui viendront grossir les rangs des sectes (la mienne y comprise). Certains les trouvent attachante, mignonne ou encore sympathiques. Détrompez vous, évitez les comme la peste! Elles vous mèneraient à la faillite en trois minutes montre en main. Certes, elles sont gentilles, certes elles sont sympa, mais elles sont un peu attardées quand même sur certains aspect évident de la survie et du règne animal.

Les profiteuses :
On les trouve surtout en cours. A l'affut, elles cherchent les intellos, ceux qui prennent les cours, ou même les redoublants qui ont les cours de l'an dernier, etc. Bref, des plaies, elles sont sympa, mais faut pas rêver.

Les rôlistes :
Aussi charmantes qu'elles soient, les rôlistes n'ont pas à être appréciées car elles sont rôlistes. Au contraire, pour la plupart, elles jouent dans l'excès, soit trop violentes, soit trop sérieuses, soit trop gentilles, naïves et insouciantes, elles n'arrivent pas à cibler la perversité pourtant avérée du MJ. De même elles ont souvent du mal à en sortir, on verra souvent des femmes parler genre "je suis une petite elfe patatijesuisniaise etc...". Oui, une elfe, évidemment, quoi d'autres? Les filles aiment pas les nains.
La perception de la rôliste est toujours modifiée par le fait qu'elle est une femme avant tout. Le charisme de Legolas serait plus élevé que celui de Gimli? Arrêtez de vous foutre de moi, un nain de 100 kg pour 1 m 20, avec la grosse hache, ça ça a de la gueule. Là y a des phéromones. Et ça bouffe pas des graines, non, du boeuf, de la viande, du saignant, de la bouffe charismatique en gros.

Les rebelles :
"Ouaich, d'où qu'tu m'parles là! J'suis une rebelle!"
Immondes, incapables de se sentir gentilles ou quoi, elles s'affirment et hurlent sur qui elles peuvent, incapables d'êtres elles-même. Élevées dans une société qui les y incitent, elles s'adonnent avec plaisir à la violence et à la joute verbale. Fière de leur répartie cinglante comme du roquefort, elles font preuve d'une formidable endurance verbale qui les fera, pour certaines, progresser jusque dans la musique. Où va le monde...

Les blondes :
Pas nécessairement de couleur de cheveux. Une blonde serait soit une femme dont le cerveau serait en Sibérie (le temps que les données reviennent, vous comprenez...), soit qui n'a pas de compilateur ("j'ai pas compris ce que tu voulais dire"). Je ne veux absolument pas être méchant. Pour la plupart, ces filles sont gentilles et attentionnées, de vrais anges comme on dit, mais y a du brainlag.

Les survoltées :
Speed, énergiques, rapides comme l'éclair, elles partent rapidement dans des trips au court termes qui vous feront regretter l'absence d'acides à portée de main. Écoutez-les, c'est souvent instructif en plus d'être agréables.

Les manipulatrices :
Ne leur confiez rien! Les petits secrets gênant, des photos de vous enfant, des faits à la con. Ça vous retombera dessus tôt ou tard. Enfin si vous vous en foutez comme moi, c'est juste de bonnes amies et de bonnes confidente, enfin, si elles sont curieuses.

Les stressées :
Toutes en stress, tout en sucre. Ne les prenez pas par surprise, on risquerait un AVC. Essayez plutôt de rester gentil, de prendre sur vous, de ne pas craquer. Très important. Ne leur parlez surtout pas en période de partiels! En effet le stress est à son comble, et vous vous retrouveriez vite enfouis sous une énorme vague de complaintes et de lamentations capables à elles seules de détruire l'empire state building.



Comme d'habitude, j'en rate, mais j'essaie de faire ce que je pense le plus globale et précis possible, enfin je me comprends.
Toutes ressemblance avec des personnes réelles est évidente. Ne reste plus qu'à éviter que ce topic tombe entre de mauvaises mains.

mardi 15 septembre 2009

Episode 93 - Nuits propices.

Eh voilà, pour une fois j'essaie de me coucher tôt et tout. J'éteins le pc, met cinq minutes de Red Hot, me brosse les dents et zou, au lit. Malheureusement, lorsqu'on aimerait que tout se passe bien, on sombre dans l'étendue de ses réflexions, et impossible d'y trouver le sommeil.
En fait, si je voudrais vraiment progresser et me sentir mieux, faudrait que je fasse ça tout le soir, et que je m'enregistre avec un dictaphone, que peu à peu je fasse tout concorder et que je m'y tienne à la lettre.
Si à chaque fois que j'avais eu ces longues heures de réflexion en attendant l'étreinte absente du sommeil, je pense que ma vie au court de ces dernières années n'aurait pas été la même du tout.

Principal sujet de concertation personnelle : les études. Évidemment, pour quelqu'un sûr de lui, et qui aime ce qu'il fait, ce genre de sujet n'a pas lieu d'être. Mais pour quelqu'un dans le doute comme moi, ça reste primordial.

Second, et loin derrière : demain. Que faire demain? Logique. Simple et efficace. On ne s'y tient pourtant jamais et tant mieux. Plutôt que de donner une liste précise, je me contente désormais de deux trois trucs à faire, important, ou bien des ordres d'idées.

Troisième, mais pas des moindres : l'avenir au court terme (études exclues). Est ce que j'ai envie de passer l'année qui vient à ne rien foutre? A me balader dans toute la France? A voir mes amis? A travailler? Toujours important. Ce soir, je me disais que je passerais bien un an à squatter chez les amis, à droite à gauche, mais ça serait quand même difficilement réalisable.

Quatrième, la place du couillon : ce qui ne va pas en ce moment. Bien sûr, pas quelque chose auquel la solution est évidente ou déjà trouvée. Plutôt : je me fais chier, que le pc pour me distraire. Si on sortait en bar. Pourquoi les autres sont rentrés? Du coup on peut plus faire des grosses soirées tous ensemble comme pendant les vacances. Ça me manque déjà. Jvous aime les gens!

Cinquième, bien mais pas top : faudrait que je dorme. Évidemment, tout le monde l'avait vu venir celui là. Mais bon, on y pense, et on ne fait que ça, c'est pas comme si j'étais capable de résoudre ça autrement qu'en faisant quelque chose d'utile qui m'occupe (qui d'ailleurs occupera des gens, oui faîtes pas les innocents!).

Sixième : achievements. Ouai, ce que j'aimerais faire avant un certain temps. Genre des résolutions, mais plus comme des trucs à faire ou à finir. Jeux / 100°épisode sur ce blog / soon mon anniv / continuer l'autre blog / faire un bouquin / découvrir et baptiser la loi de Hareng / etc...

And last but not least : l'avenir au long terme. J'y ai tout simplement pas pensé, à quoi bon? J'ai déjà les grandes lignes, le fignolage? Pourquoi faire? On verra sur place, j'aime pas trop planifier.

Bref, pleins de petits sujets.
Et comme j'arrivais toujours pas à dormir, ni une ni deux, je rallume le PC (éteint pour l'occasion (pourquoi je l'avais éteint d'ailleurs?) ça arrive pas souvent), je me balade le temps que ça démarre re-traîne, feuillète un -Boulet-. Classique, je me pointe, et raconte tout ça.

Mais vous vous rendez peut être pas compte, mais c'est que pendant tout ce temps de réflexion et de traitement de texte, moi, je suis à poil, sur mon fauteuil, à me geler les couilles.

Hareng, un vrai héros de la nation, un homme comme il en faudrait plus, il sacrifie le réchauffement de ses génitales pour nous dédier son savoir et son humour.
C'est classe, je me sens honoré et tout. "Hareng, vous nous avez sacrifié votre santé pour nos rires et nos sourires. Malgré cela, vous avez su restez simple." Comment ça je récupère des citations de -Boulet-? Mais non, enfin presque pas, un tout petit peu.

Je me donne tout un air de martyr, de sacrifié, alors qu'en fait, c'est pour avoir froid, me fatiguer, et quand je retournais dans le lit, là, qui me fait les yeux doux, je vais être tellement biennnnnnnnnnnn!
La couette qui n'attend plus que moi. Ces oreillers qui ne vivent que par moi. Ces draps qui scandent mon nom. Ce matelas qui ne souhaite que mon corps. Ce sommier qui désire mon cœur brulant. Face à tant de complaintes, que faire? Attendre, être désiré doit toujours rester un plaisir.

Je vais également vous faire profiter de LA chanson de la nuit.

Nina Simone - Feeling good

Sur ce, bonne nuit, à bientôt!

dimanche 13 septembre 2009

Episode 92 - Cinéma & co.

http://ernest-amibe.blogspot.com/2009/09/episode-4-un-peu-de-dissertation.html

Suivant ce sujet, j'ajouterais ma pierre à l'édifice.
Qu'est ce qu'est sensé être un bon film?

Déjà, laissant tous les détails techniques de côté, après avoir vu un bon film, on en garde une impression. Ne pas se faire chier, ne serait-ce que sur la fin, est indéniablement nécessaire.
Pour ne citer que "La possibilité d'une île", pure navet de France, on s'emmerde de A à Z.

Chaque genre de film a ses bons, voir excellents films. Les comédies ont les Monthy Python (en plus de films tels que Tropic Thunder). Quentin Tarantino se pose en tant que maître, chacun de ses films étant une référence au point de vue de la réalisation, et on ne parlera pas de Inglorious Basterds, excellent voir plus encore.

Commençons donc à développer les caractéristiques d'un bon film. La durée? Sans importance aucune, mais, on ne doit pas pour autant rester sur sa faim, ce qui est également très important pour les adaptations de livre ou de BD. A ce titre, on notera Harry Potter, un échec si je peux me permettre, en dehors du fait qu'ils le transforme en teenage movie, les films sont bien trop courts pour développer ce qui aurait du l'être. Tandis que Watchmen, lui, bien que modifiant la fin du scénario, prend le temps qu'il faut pour présenter les personnages par des scènes certes lentes mais nécessaire, tout en restant très soignées.

Les acteurs? Oui. Les acteurs sont bien souvent indispensables. Acteurs célèbres? Pas nécessairement, il faut juste des acteurs vraiment bien intégrés à leur personnage et qui jouent bien. Exemple : Christoph Waltz dans Inglorious Basterds. Clint Eastwood dans Gran Torino.
Pour les exemple de ce qu'il ne faut pas faire, n'importe quel film de série B ou Z vous expliquerait dans son jeu que "Safopafer".

Safopafer

La BO, oui, dans une certaine mesure, dans Pirates des Caraïbes, elle est bien, mais pas non plus nécessaire à un film déjà très agréable. Mais dans des films comme The Boat that Rocked, elle est tout bonnement génialissime et nécessaire à rendre le film très bon. Évidemment, ça permet aussi de relever la beauté des scènes, dramatiques ou pas. Mais là, Quentin Tarantino nous montre allègrement que des musiques sensées ne pas être en relation avec des scènes de mort ou autres passe en fait très bien. Changeant certes l'ambiance de cette scène, mais n'en changeant pas le sens. Au contraire, ça allège des moments ou dans un autre film la scène aurait été pesante.

Alors quoi? Qu'est ce qui peut rendre un film bien? Quels critères?
Il n'y en a tout simplement aucun. Cela peut dépendre des gens et de ce qu'ils pensent en ce moment. Tous les goûts sont dans la nature. Un bon film dispose des choses citées plus haut, mais rien ne peut le rendre bon plus que ce que ressentent les gens lors de sa diffusion.

Les films que je considère bons seront des navets pour d'autres. Et je pense de ces personnes que leurs goûts sont à chier. Tout restera subjectif.

samedi 12 septembre 2009

Episode 91 - L'enfer des courses.

Les courses, le shopping, les emplettes, autant de noms pour cette perfidie.
La tentation, c'est ce que m'inspire le plus les courses. Trainer dans les rues avec pour but de faire des courses, au final, c'est offrir son corps en pâture au diable. C'est également, mais selon un autre point de vue, tester sa foi.

Vous vous dites sûrement "pfff, nawak, je c ce ke je fè", mais malheureusement, vous passer devant une vitrine en flanouillant... Et là... c'est le drame! Vous tombez sur un magasin de saucisson fromage. Je sais je commence fort. A chaque personne ses faiblesses. Un des pires endroit, un concentré de vices, l'antre du démon en personne, le mal incarné serait probablement le supermarché. Vous passez peinard entre les rayons et là paf, un truc vous fait envie, parce que c'est bon, puis un autre.
Soit votre esprit est suffisamment endurci, et vous résisterez. Soit vous succombez.

Chacun a ses sept péchés. Par exemple, les miens sont :
-magasins de bricolages
-boutique de jeux
-fromagerie
-charcuterie
-boutique de zik (qui passe du reggae)
-magasin de manga
-literie

vendredi 11 septembre 2009

Episode 90 - Coucou Guillaume!

http://ernest-amibe.blogspot.com/

Boum, tu trinques! (Enfin on dira qu'à la dernière soirée c'est moi qu'ai trinqué, mais que c'est toi qu'à retrinqué à Finstere Flure. Ce qui au final donne mass trinquade ou trinquage, selon les habitués.)

Pour ceux qui connaissaient pas Guillaume, c'est la personne qui si elle avait le choix de réciter un poème ou une histoire, elle ferait l'intégrale du seigneur des anneaux version longue. Environ douze heures de dialogues apprises par cœur... C'est ça être fan...

Et donc, cette nuit, je me fais spam sur msn (évidemment je dormais, et c'est tout juste au réveil que je découvris ça).
"Guillaume a dit (01:14) :
hey doc
est ce que tu pourrais mettre un lien vers mon (nouveau et rutilant) blog sur le tiens ??"

Grossière erreur!
En effet, on ne demande pas à être linké, ça ne se fait pas, c'est très incorrect et grossier. On annonce plutôt l'arrivée de son blog, et de ce fait, étant l'incarnation de la bonté, je link. Mais je link aussi pour moi, comme ça, je sais quand y a des news (oui je sais je pourrais m'inscrire aux flux rss et tout... ça viendra). Pour en revenir au sujet, non, on demande pas à tonton Hareng. Jamais!

C'est naturellement que pour châtier cet énergumène que je lui dédicace un topic entier. D'ailleurs, à première vue, son blog est pas folichon folichon. L'écriture est compacte. Peu espacée. Sans virgules. Il reprend mes idées. Il écrit pas beaucoup. Il ne me cite pas. Il me taxe mes photos. Bref, pas très manné le garçon si je puis dire... Enfin c'est bon, ça ne reste pas le pire. Mais quand même, si il avait réfléchi à son blog avant de le créer cash.
En effet le jeune homme est retourné à Strasbourg, effectue sa rentrée lundi prochain, est seul, et déprime grâce à son "cœur d'artichaut" comme il le dit si bien. Donc, il crée un blog, comme ça, pour passer le temps. Mais créer un blog est un art. Et reprendre l'idée de titre de blog des autres est tout sauf judicieux. Honteux et faible seraient des qualificatifs beaucoup plus sensés.

Pour finir sur le pauvre Guillaume, je tiens à annoncer que dans son désespoir, il regarde des films. Hier il a regardé Watchmen. Loin de moi l'idée de critiquer Watchmen, qui est un très bon film. Mais plutôt du fait de regarder un film "sérieux" quand on est déprimé. Cela n'apporte strictement rien. Il n'y a que trois catégories de film qui font du bien quand on a le cœur en confiotte :
- les films à l'eau de rose ;
- les comédies bien grasses ;
- les suicides.

Le rôle de la première est évident. Celui de la seconde aussi, le rire a toujours été génialissime.
Quant à la troisième, son but est bien évidemment de se finir. Non pas d'en venir au suicide contrairement à ce que l'on pourrait croire, c'est impossible de se suicider à cause d'un film, faudrait être un crétin fini. Leur objectif est soit de faire pleurer toutes les larmes de son corps, et du coup, de trouver tout classe et beau et merveilleux, soit de permettre d'avoir un regard atténué sur sa situation.

En tant qu'homme qui aime les "suicides" (films tristes), je recommande cette catégorie quand on est seul. Les comédies à deux ou trois. Les films d'horreur à plus.

DEUXIÈME ANNONCE !

Le Guillaume est une créature solitaire vivant sur Strasbourg et en grand manque d'affection. Mesdames, il est de votre devoir de le réconforter. Donc, mesdemoiselles (ou mesdames, je suis moins sectaire que lui), si vous passez sur Strasbourg, allez lui faire une bise, un petit coucou. Je n'hésitez pas à me demander des informations complémentaires sur cette "pauvre petite chose" (véridique, on a entendu des filles le dire, mais nous n'en dirons pas plus).

Sur ce, bons baisers à bientôt.

PS : Momo, prends la deuxième annonce pour la mettre sur ton blog, entre amis, il faut être solidaire. Et remplace le "moi" par Docteur Hareng. :]]]]]]]]

jeudi 10 septembre 2009

Episode 89 - Back to the mall! Again!



Alors ça, c'est pour se mettre dans l'ambiance du post d'aujourd'hui.

C'est très con, comme d'hab, mais l'idée m'est venue pendant qu'on faisait des courses. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, dans mon esprit, l'association des caisses d'un supermarché à un jeu de combat en 2D, tel que Street Fighter ou Mortal Kombat, me parait on ne peut plus logique.

Vous arrivez aux caisses, tranquille, avec vos courses et là, BAM!

"CHOOSE YOUR CHARACTER!"

Bon, quelle caisse prendre? Finalement, c'est plutôt le terrain et tout, mais tu choisis bien ta caissière, la plus charismatique, la plus violente, celle qui tuerait un balrog à mains nues. Enfin on prend donc une caissière de qualité.

S'en suit de longs et pénibles affrontements avec votre personnage qui devra en découdre avec les "Terribles Clients". Et, pour la fin, le BOSS de Niveau : votre double maléfique (vous). Après ces glorieuses victoires, la caissière pourra enfin quitter le supermarché, elle a, une fois de plus, sauver son emploi!

Je pense que ce jeu serait passionnant. Enfin, ça dépend de l'adaptation.

mercredi 9 septembre 2009

Episode 88 - Les limites.

Loin de moi l'idée de récupérer les paroles de la chanson du même nom. Non, là je fais juste une mise au point personnelle sur les limites que je ne dois/devrais pas dépasser. Je préviens juste que je vais trouver de nouvelles limites au fur et à mesure, et que donc je risque de peut être déborder un peu du sujet. Je n'aime pas en arriver là, mais vous ne me laissez guère le choix.

Et voilà c'est parti!

Alcool :
-à jeun : 3 verres de rhum ;
-en ayant mangé : 6-7 verres de rhum.

Sommeil :
-pour conduire : 5 heures ;
-pour être supportable en cours et au travail : 5 heures ;
-pour être supportable en soirée : 4 heures ;
-pour profiter d'un bon lit : 10-12 heures.

Travail :
-pas plus de 2 heures, quelques soient les conditions (même en partiels).

Famille :
-pas plus d'un week-end d'affilé, sinon, c'est la crise.

Amis :
-no limit, bien évidemment, il faudrait être un monstre pour préférer le travail aux amis. En fait, il faudrait être un monstre pour préférer le travail aux amis. On devrait sacrifier son sommeil pour voir trois heures de plus ses amis.

Musique :
-temps max sans musique au volant : 5 minutes (LA raison pour laquelle j'aime pas conduire avec ma mère dans la voiture "Oh alex baisse le volume ça me détruit." ?_?) ;
-temps de travail sans musique : 30 minutes, après je fredonne ou chante ;
-temps de survie sans musique : 1 heure ;
Du coup, pour faire face aux imprévus dans la vie, je chante sous la douche.

Liv Tyler :
-une scène max, et encore c'est déjà beaucoup.

Audrey Tautou :
-0 minute.

Matter Star Wars ou Le Seigneur des Anneaux avec Guillaume qui lit le script avec une seconde d'avance et qui peut même se permettre de jouer la BO au Kazou. Priceless. Pour tout le reste, il y a Arentar Mastercard.

Les blagues carambar :
-illimité : mon esprit fut forgé par les pires, avec les pires, pour les pires. Il subbit un entrainement quotidien qui rend les blagues carambar "amusantes".

Les ours :
-trop mignon.

Les animaux attachants qui meurent dans les films :
-je vous hais.

L'aspirateur :
- 04h30 AM au plus tard.

Fin.
C'est un tour rapide des différentes limites de ce monde. Enfin à mon goût. Bien sûr, après relecture, je trouve ce post d'un intérêt néant, mais, je manque d'inspiration en ce moment, donc je vais quand même réfléchir à un truc sympa, mais je garantis rien.

jeudi 3 septembre 2009

Episode 87 - Le carnet, bof bof.

Petit constats rapides. Le carnet a plein d'avantages, tous ceux énoncés dans la note précédente entre autre. Mais je constate au fur et à mesure des situations que les contreparties sont nombreuses. En effet, le simple fait de l'utilisation du carnet cassera bien souvent des situations dans lesquelles des tonnes de choses seraient ressorties (ne le sortez jamais au lit par exemple).

Triste constat...

Mais ça reste génial pratique et utile! Alors équipez-vous en.
C'est presque aussi vital que la musique. Il est de ces personnes pour qui l'absence de musique est intolérable. Au hasard, moi. Faire de la daube vocale (chanter mal peut être acceptable quand même, nous sommes tolérants) sur une bonne musique est irritant. C'est comme si je vomissais dans votre foie gras, enfin ça m'irrite au même point.

Enfin comme vous l'aurez remarqué si vous preniez la voiture avec moi, la musique est indispensable pour conduire détendu. Aucun problème quand ça bouchonne ou autre, l'attente devient source de réflexion et de détente.

Voilà. C'était l'article inutile de la journée.

Episode 86 - Petit coup de pub.

Je vais me faire ma propre pub, parce que je risque pas d'avoir d'autres solutions.
Lien de mon nouveau blog.

Et voilà, un nouveau blog, où je mettrais que du texte, que des petites histoires, et pas trop régulièrement. Avec des fautes d'orthographe bien entendu. Parce que j'ai jamais été terrible non plus.

Donc c'était tout. Plus de lecture pour certains, rien pour d'autres.