dimanche 15 novembre 2009

Episode 108 - La SNCF, le dessin et leçons de discrétion.

Tiens! Un nouveau post du Docteur Hareng! Mais que va-t-il donc nous raconter cette fois? Que se passe-t-il dans sa vie? Que peut-il raconter qui vaille le coup d'être lu?

Et bien rien! Je prends le train, je vais voir des gens. Et comme d'autres personnes, je profite de mon temps dans le train pour ne pas nécessairement dormir, mais aussi pour faire des trucs plus intéressants comme lire du Lovecraft, écrire du jdr ou du jeu de société, mais surtout, activité qui prend 90% de mon temps de train moyen : je dessine!
Quoi donc? Bah les gens. Tous ces gens qui dorment, qui écoutent de la musique, qui s'emmerde, qui ne font rien, qui lisent, qui jouent, qui regardent le paysage défiler.

Bien souvent, il parait évident que dessiner dans le train est une activité soumise à des contraintes physiques irrémédiables et bien évidemment gênantes comme :
- un mouvement irrégulier de 6.8 sur l'échelle de Richter ;
- un manque de place évident et énervant ;
- l'absence d'aménagements pour les gens qui ont des grandes jambes ;
- ...
Pénible n'est ce pas? Enfin bref, le service reste néanmoins convenable, et le bruit ambiant acceptable avec les écouteurs adéquats.

Et donc, je dessine les gens. Outre les contraintes physique, il faut tenir compte de ma timidité évidente, et donc de mon incapacité à fixer quelqu'un. Croiser le regard de sa proie revient à la relâcher, la laisser partir, gommer le dessin et recommencer.
Tout ceci est au final un énorme travail de patience.

Je passerais sur le fait que les victimes bougent et fassent tout chier.


Comment trouver la cible parfaite?

Plusieurs situations :
- vous êtes deux, et vous, côté fenêtre : tout ce que vous voyez fera l'affaire, parce que là, de base, vous verrez pas grand chose.
- vous êtes deux, et vous, côté couloir : ne choisissez pas votre voisin, le 180° est fatal, vous allez être tellement grillé que votre seule chance est que la personne dorme, dans cette situation, ne dessinez votre voisin que si c'est une voisine, vous ne passerez que pour un pervers.
-n'importe quel autre cas (dans un box de 4 personnes, seul avec deux sièges,...) : faites ce qu'il vous plait, vous êtes tranquilles.


Voilà, profitons de quelques 15 minutes de break.

mardi 3 novembre 2009

Episode 107 - Le dynamisme culturel est-il à l'épreuve des balles?

Et oui! Ce titre sans queue ni tête n'aura aucun rapport avec le sujet. Même si l'on convient que ce blog représente à lui seul près de 50% du dynamisme mondial grâce au soutien essentiel de la DFC, je ne suis pas à l'épreuve des balles (à la rigueur des balles de ping pong), contrairement à ce que prétendent certaines légendes urbaines du Grand Bérou.
Outre ces mythes et légendes quasiment toutes fausses, sauf bien sûr toutes les légendes concernant ma gentillesse sans borne.

Le vrai sujet, ou plutôt, l'idée à l'origine de cet article est bien entendu tout autre. Sérieux? J'en doute. Interessant? Et puis quoi encore? Aujourd'hui, je déclare officiellement la mise en place des "Questions que tout le monde se pose." Largement volé à Eichiro Oda, auteur du très estimé manga One Piece, ce concept vise à rassembler les questions que vous me posez, et à faire un gros article pour y répondre.

Oui, cette idée est naze. Totalement! Et d'ailleurs, je doute d'un jour faire ce putain de gros article, mais au moins, postcount +1!

Bon, finir un article comme ça? Non, c'est honteux. Donc on va continuer. On va meubler. Regardez à gauche de l'écran, les blogs en lien. Parmis ceux-là, y a des vrais blogs bien qu'il faut aller voir. Certaines personnes fréquentant ce blog ne les connaissent pas, et bien c'est honteux.
Je vais faire mon petit top 3.
Eliascarpe
Manu-XYZ
MikeSquad

Ils sont bons, grand, talentueux, etc.
La plupart diront "hééééééé t'as pas mis Boulet dans ton top3!", hééééééééé j'ai pas mis Boulet dans mon top3. Vous mettriez le Kebab dans les top 3 de vos plats préférés? Oui, assurément. Mais pour moi, le Kebab n'est pas un plat. C'est LE plat. Il est forcément n°1, raflera tous les pris et ne laissera aucune chance aux autres. Donc pour faire comme on fait dans ces cas là, on le désigne comme membre du jury. Et il ne participe pas au classement. Bien que mesquin, ceci permet de laisser sa chance aux autres.

Article doublé de volume.
Mission accomplished.
Good job sir!

lundi 2 novembre 2009

Episode 106 - Météo Actualités et Paris stupides.

Aujourd'hui, premier jour de ce mois de novembre, il s'est mis à pleuvoir, pour la première fois depuis un long moment, hors deux trois mini-giboulées. Et aujourd'hui, il a plus des vouges! Voui messieurs dames, des vouges! Bon, mon adresse légendaires et mes réflexes me permirent d'atteindre destination sans souffrir de quoi que ce soit, mais ça restait quand même assez déprimant.

Puis, comme d'habitude, une explication rationnelle m'est venue! Les nuages, bien qu'il soit scientifiquement prouvé que patati patata sont capables de communiquer, et peut être même avec Dieu. Il parait alors probable que partant d'une soirée à la bonne franquette, les discutions bien qu'agréables soient vites parties en live à grand coup de "Vous êtes pas cap de pas pleuvoir avant Novembre!". Les nuages, fiers et puissants, montèrent au rempart et relevèrent le défi. Il me semble évident donc que cette journée devrait être une journée de réjouissances et de liesse comme le "jour où les nuages ont gagné leur pari débile avec Dieu". Soit jolnog pour conserver un nom prononçable.
Et cette histoire bien que farfelue est totalement crédible. Faire circuler l'information, qu'on se le dise, Dieu n'est qu'une tapette qui n'arrive pas à gagner un pari contre de la vapeur d'eau!

Vous pensez que ce n'était que le début des paris à la con du tout-puissant? Détrompez-vous! De nombreux exemples parsèment l'actualité.

Dieu à un virus :
"Je paris que t'es pas capable de sur-endetter un pays de crétins."

Dieu au Soleil :
"Je paris que tu peux pas baisser la moyenne d'âge mondiale!"

Dieu à l'Atlantique :
"Je paris que tu peux pas recréer une ambiance post-apocalyptique où les gens se mangent entre-eux."

Petit jeu inclu : Devinez les trois faits d'actualité dont je parle. A gagner : des prix incroyables!

dimanche 1 novembre 2009

Episode 105 - Super pouvoir et retour d'entre les morts.

Serj TankianÇa fait tellement longtemps que j'avais pas posté un truc sur un blog quelconque, une sorte de vrai article, pas les pseudos messages à quatre francs six sous qu'on trouve sur les forums. Ceci est donc mon come back après UNE SEMAINE ET DEMI d'absence. Un sacré come back me direz-vous. C'est donc le début de cette article. Avant de parler de mes fantasmes de puissance et de pouvoir, je vais en venir à quelques informations inutiles.

Les joueurs parlent aux joueurs, mais voici tout d'abord quelques messages personnels.
J'ai testé Neuroshima Hex, une partie seulement pour le moment. Les règles sont simples, rapides à assimiler. Par contre, le jeu est vraiment super. Les possibilités tactiques sont énormes, et on se lasse pas facilement. Le jeu, bien qu'annoncé en 40 minutes peut facilement être bouclé en 20, et pour mon blitzeur adoré, notre défi sera d'atteindre les 10 minutes. Enfin bref, du lourd du bon et du savon.

Pour une qualité supérieure de messages, la suite de cette article sera faite avec la collaboration de Serj Tankian.

Parlons de super-pouvoirs. Nombreux savent que je prône l'immortalité. De la vrai immortalité, le genre de truc qui me fera mourir indéfiniment une fois la planète détruite. Oui, en partant de la fin, ça fait nettement sado-masochiste. Je rajouterais aussi que ce pouvoir ne doit pas être exposé à la face du monde. La peur des hommes vous emmurera vivant aussi vite que peut l'être la réaction d'une certaine amibe à l'entente du mot "Kebab". Mais, malgré ces quelques défauts, il reste un pouvoir majeur passif et avec des tendances à vous rendre nostalgique, vous disperser, mais qui entre des mains expertes vous conduira à des joies nombreuses et surtout une capacité d'étude de l'humanité presque sans limite. Enfin je reste un grand fan, puis mon soucis majeur étant l'amusement d'autrui, j'ai des chances de combler tout ceci sans grand problème.
En résumant, le bon pouvoir du sentimentalisme.

Après, je reviendrais sur un pouvoir qui m'a fait beaucoup rire après l'avoir imaginé, un pouvoir marrant et même utile je dirais. Mesdames et messieurs, le pouvoir des sons et lumières.
Comme son nom l'indique, vous pourrez rajouter en permanence des effets sonores et lumineux par dessus vos actes, vos paroles, votre inactivité.
Exemple d'utilisation : vous êtes en train d'accoster une fille et là BOUM! Lumière tamisée en plein jour, musique langoureuse, tout le kit du Dom Juan est en vous.
Autre exemple : vous voulez soignez votre costume d'inquisiteur, de prêtre pour Halloween. Rien de plus simple, effet cathédrale, rayon diffus de lumière autour de vous, une petite aura de sainteté et bim, c'est dans la poche.
Idéal pour les soirées costumées, les entretiens d'embauche, le commerce, la vente, la drague et la persuasion.
Et vous pouvez aussi donner une note humoristique à tout et n'importe quoi.

Après, pour le reste des pouvoir, on revient un peu dans le classique, vol, force, pyrotechnie et autres. Mais de tous, n'importe lequel me conviendrait. Je réserve quand même le pouvoir des archives et du bibliothécaire à Amaury. N'arrivant pas à trouver un pouvoir convenable et propre aux autres, on dira que le monde est basé sur les inégalités, que les inégalités provoquent le changement, l'évolution, et que les faibles sont voués à disparaitre, mais je vous aime bien quand même les amis.

mercredi 21 octobre 2009

Episode 104 - L'improbable.

Comme on m'en a fait le reproche, j'essaierai de soigner mon orthographe dorénavant. Je suis pas un dieu du français, donc ça sera pas non plus super top. Mais j'espère minimiser la casse.

Aujourd'hui, au menu, les faits improbables. Enfin, pas nécessairement les faits d'ailleurs. Quelque chose d'improbable, de vraiment improbable, j'aimerais dire quelque chose qui a 0%  chance de se produire, et non pas dans les 5 ou 10%. Disons quelque chose que notre imagination ne peut pas concevoir. Par exemple, si l'on vous disait "Oh, j'ai vu une couleur que je ne connaissais pas, ça doit venir du fin-fond de l'univers!", vous allez essayer de refléter cette image, mais tout ce qui vous viendra à l'esprit sont des couleurs du cercle chromatique tel qu'on le connait.
"Une géométrie qui n'est pas de ce monde." C'est peut être un peu plus évident, mais là, vous allez forcément partir sur des idées de triangles plus ou moins bizarres, pour au final vous rendre compte que si vous pouvez l'imaginer, c'est que cela fait parti de ce monde.

Dans le même ordre d'idées, si je vous parlais d'une personne impossible ou presque à joindre, un de vos meilleur potes qui peut jamais venir vous voir, qui n'est jamais disponible ; moins improbable, mais cela vous rappellera certaines légendes, certains mythes,... Non, ce n'est ni l'abominable homme des neiges, ni Nessie. Des scientifiques établirent sa tanière aux alentours d'Illiers-Combray, dans un des bleds les plus paumés qui soient. Les paysans locaux racontent avoir vu une créature informe assise sur un stère de bois, les regardants avec une in-expressivité soutenue. Certains l'ont appelé "Geoffrey", et il leur en coûta. L'entrée de sa caverne est recouverte de débris, jonchée d'ossements ; si je peux vous parler de cela aujourd'hui, c'est que j'y étais. Bravant les interdits, j'avais trouvé le courage de pénétrer son domaine, et aujourd'hui je ne puis raconté ce que j'y découvris, de peur d'être traité de fou.

Toujours sur le même sujet, je ne m'ennuie pas. Inconcevable! Cela fait plus d'une semaine que je suis submergé de choses à faire, que je manque de temps pour faire tout ce que souhaiterais. L'ennui, cette seconde nature, me quitte peu à peu. Que dire si ce n'est que le temps passe, depuis peu, trop vite, beaucoup trop vite. Du coup, savourer toutes les petites choses devient quasiment impossible. Je ne dirais pas que ça me manque, car l'ennui est quand même assez négatif dans son ensemble, mais il est des tonnes de petits plaisirs qui puisent leur existence dans celle de l'ennui.

Et suite à ce brillant message, je vais aller en cours pour ne sûrement même pas m'ennuyer... où va le monde si même les poissons se mettent à profiter de la vie.

jeudi 15 octobre 2009

Episode 103 - Le jugement dernier.



(Oui les petites musiques en intro vont devenir récurrentes. Ca boost les ventes.)

Si dieu existait, pourquoi laisser la vie à chacun? Tout le monde a sa petite hypothèse là-dessus, croyant ou non. Qui n'aurait pas entendu parler de dieux, d'un dieu, de Dieu dans le monde actuel? Donc forcément, même inconsciemment, formuler des hypothèses sur ses décisions, ses choix est toujours amusant.

Donc aujourd'hui pourquoi laisse-t-il vivre tant de monde?

-Première solution : la facilité :
  Il ne peut rien y faire. Ca paraîtrait surprenant qu'un vieux briscard comme lui ne puisse rien y faire. Pourtant, on peut supposer qu'il ne possède que le pouvoir de création. C'est vrai, il a créer l'univers, les animaux, les plantes, si il avait tout les pouvoir, ça serait bien trop cheaté (genre le mec ça serait Dieu quoi!). Un peu ridicule, mais pourquoi pas.

-Deuxième solution : la flemme :
  Il s'en fout, il a autre chose à faire, il dort, qui sait. Il est pas là, n'a pas constaté le désastre et n'a pas encore envoyé la grosse caillasse qui nous tuera tous. Je peux comprendre ça, car je déteste les émissions de télé-réalité, donc au final, c'est sûrement très chiant. Ou bien encore l'humain fut trop long à évoluer et il s'est endormi à la préhistoire. Bref, on attend qu'il émerge.

-Troisième solution : "C'est en cours, oui oui!" :
  Tout est déjà prêt, c'est juste le casting time qu'est un peu trop long. En ce moment même, l'apocalypse est en train d'être invoquée, et c'est juste qu'on a pas l'impression que ça arrive, mais rassurez vous, dieu pense à nous!

-Quatrième solution : manque de motivation :
  "Mais non, c'est très bien comme ça, je vais pas y toucher!" Dieu est un artiste merdique qui croit que ce qu'il fait est bon (genre Laurent Gerra, Élie Semoun,...). On aimerait bien lui expliqué qu'il a perdu le concours de la plus belle création, mais c'est pas vraiment trop ça. Donc bon, faut attendre l'évaluation du jury, comme ça dieu deviendra fou et détruira son œuvre, et enfin le monde pourra pousser un "c'est pas trop tôt" de soulagement.

-Cinquième solution : savant fou :
  Imaginez maintenant dieu en blouse blanche. "Ach j'en enfin troufé comment détruire ze monde Mouhahahahahahahahahahahaha!" Un programme alléchant, de quoi en faire un film. Nous sommes sa création après tout. Une sorte de zombi / créature de Frankenstein.

-Sixième solution : la mienne :
  Dieu juge toute créature vivante. Chacune est sensée mourir au bon vouloir de ce dieu. Et il s'avère que des règles existent en la matière. Par exemple, votre utilité. Pour survivre, il faut être utile au sein de la communauté, nous ne pourrons pas fixer ces critères d'utilité, mais ils existent. Mais alors, pourquoi le docteur Hareng est-il encore vivant? C'est simple mon enfant, je suis sauvé par mon "capital sympathie". Doté d'un charisme hors-norme, dieu laisse vivre des personnes ô combien inutile afin de voir leur devenir. La même règle est bien entendu appliquée aux animaux, mais il s'avère que tous les animaux étant utile, cette forme de sélection est devenue inutile.


Voilà. Maintenant vous savez tout de la vie sur Terre!

Episode 102 - Déceptions.



Je me rappelle d'il y a quelques années, j'étais insouciant, pour moi, tout était bien. Tout était correct, regardable, sympatoche.
Alors voilà, j'ai voulu regarder un film qui m'avait laissé un bon souvenir, doublé d'un thème que je trouve vraiment super sympa. Arsène Lupin.

Oui je sais, ce film est une boue sans nom. On me l'a pourtant dit, et malgré les conseils avisés de mes proches, je n'ai pas su m'arrêter.

Que dire, sur le papier et dans ma mémoire, ça sonnait encore bien : Arsène Lupin, des cambriolages, des costumes rétros, un scénario moyen, des gens qui se haïssent et qui s'aiment en même temps. Le constat est bien sombre.

Dès le début du film, on constate l'ampleur du désastre. Des jeux d'acteurs affligeants, des incohérences inconcevables ("Coucou je suis une servante de duchesse et je réponds à ma maîtresse avec sarcasme et railleries... Et en prime je garde mon emploi!").
Le réalisateur a pour volonté de bien vite nous écœurer. Des angles de caméra qui provoque la nausée. Un casting des plus nuls ("Ouai à la base je voulais jouer la fille mais j'ai eu le rôle du mâle méchant et agressif. Pas grave je le jouerais quand même.").
Un scénario bancale, immonde et truffé de questionnement dont même nous on s'en bat ("Coucou on s'en bat la race du mec qui complexe pendant 20 ans car son père est mort.").
Un cardinal dans un fauteuil roulant à guidon (what for?).
En fait, le pire jeu d'acteur jamais vu de l'histoire du cinéma français. Eh oui! Fernandel n'a qu'à bien se tenir!
Des semis citations de Usual Suspect.

Quelques points positifs cependant : des costumes moyens et des effets spéciaux moyens. En effet, quand on plafonne à 4/20 de moyenne, 7 c'est déjà positif.

Je n'ai pas cherché, mais si il était possible de trouver la version anglaise, le film paraîtrait moins naze.

Moment fort de ce film : la scène du phare.
Un défiguré arrive, plante quelqu'un à coup de couteau. Cette personne tire dans la lampe. Le phare explose. Personne n'a rien (même la personne tombée du phare). Un défi à relever pour la cinématographie mondiale.

Enfin bon, inutile d'aller plus loin. Personne ne supporterait de voir ce film dans son intégralité, même si je continue à en apprécier certains points.

C'est, avec ce film, tout une page de mon adolescence qui se ferme. De même, il existe dans de films que j'ai apprécié. Qu'est ce que je pourrais en penser maintenant? Les bons souvenirs sont adulés et les mauvais sont exagérés. C'est comme si pour vivre pleinement, il fallait reprendre sans cesse ce qu'on a déjà vécu, car justement on y apporterait un point de vue et une expérience différente.

Pour résumer : NE REGARDEZ JAMAIS CE QUE VOUS AVEZ KIFFE ENFANTS!

vendredi 9 octobre 2009

Episode 101 - Un peu de jeu de rôle.

Et oui, du jeu de rôle au programme d'aujourd'hui. Le but de ceci est d'effectuer une catégorisation des joueurs et des MJ. Comme les précédents articles, là aussi des mix de catégorie sont faisables. Pourquoi faire ça? Je trouve ça rigolo de pouvoir se retrouver à chaque fois dans une catégorie, de se dire "Ah ouai c'est vrai, jsuis un peu comme ça." Le tout avec une méchante dose de critique et d'auto-critique.

Commençons donc par le plus simple et le plus respectable, le travail de MJ.

1 - Les pros :

  Génies de la romance, ils savent avec maîtrise faire vivre et vivre leurs scénarios. Ils s'amusent à prendre la voix de chaque personnage, à décrire l'environnement qui vous entoure. Ils va sans dire que l'univers dans lequel ils masterisent leur est acquis, ils en connaissent chaque recoins et ils aiment avant tout jouer d'ambiance et d'amusement.

2 - Les feignants :


  Ils aiment masteriser, cela va sans dire. Mais écrire un scénario de bout en bout n'est pas fait pour eux. Ils ont au maximum quelques pages de storyline, mais les descriptions précisent ne sont pas leur fort. Monocordes, ils ont souvent du mal à prendre des tonalités de voix différentes. Accrocs à l'amusement facile et rapide, ils n'hésiteront pas à improviser, à sortir des excuses bidons lors du fameux Tupepa, ce qui au final rendra la partie chaotique.


3 - Les viandeurs :


  Leur passe-temps, les boucheries. Tout au long du scénario, vous subirez des assauts de tous les côtés. Des hordes d'ennemis faibles et faciles à tuer apparaîtront. La partie se résumera à étaler les tripes des autres dans des lancers de seaux de dés.


4 - Les précis :


  Tout sera décrit avec le détail le plus infime. La victoire ne sera possible qu'à condition de n'avoir raté aucun détail et d'avoir penser à LA solution pour sortir du pétrin dans lequel vous êtes.


5 - Les sadiques :


  Vous aurez de la chance si vous leur survivrez, votre mission est de sortir vivant de la séance. Votre personnage aura de nombreuses occasions de mourir, et si il survit, vous assisterez sûrement impuissant au remake de Destination Finale, lorsque, alors que vous sortiez enfin de l'enfer, un bus traversa le jardin à toute vitesse.


6 - Les trops gentils :


  Vous ne pourrez pas mourir avec eux, vous ne pourrez pas rater un indice, ni même ne pas finir la mission. Leur contact avec le monde réel reste à définir, ils ne connaissent pas la félonie, la difficulté, la méchanceté, le traîtrise, la torture, la haine. Ils n'ont d'humain que l'aspect, imaginez les comme de gros nounours en guimauve tendant de vous amuser.


7 - Les débordés :


  Impossible de gérer plusieurs joueurs dès qu'ils se dispersent. Le MJ débordé oubliera le groupe et ne s'occupera que des joueurs qu'il a. N'essayant même pas de faire faire chaque groupe en plus ou moins simultané. Vous aurez intérêt soit à rester ensemble, soit à prendre des jeux, car l'ennui sera au rendez-vous.






Fini pour les MJ. Je pense en avoir fait un bon paquet, presque tous en fait. Maintenant, place aux joueurs. Un concept beaucoup plus dur à gérer étant donné que pour la plupart,cela dépend du personnage. Certaines personnes auront cependant de bonnes récurrences et des mœurs toujours similaires.


1 - Les bouchers :


  Tuer. A la première rencontre, l'écume jailli, ils tremblent, leur yeux virent au rouge. Leurs méthodes qu'ils emploient sont plus que douteuses. De la torture physique à la torture physique, en passant par la torture physique. Ils excellent dans la pratique de leur art, et n'hésitent pas à tuer le moindre personnage qu'ils croisent.


2 - Ceux qu'on pas compris :


  Adepte de la paix, ils placent de grands espoirs dans leurs camarades, croyant que ceux-ci garderont des aspirations pacifiques et altruistes. Évidemment, ces joueurs n'ont pas compris que saccager le scénario du MJ est toujours mieux. Ils se cantonnent à jouer leur héros, en restant plus ou moins passif et en craquant sur les violents du groupe.


3 - Les lamas :


  Optimiser est leur raison d'être. Il leur faut le top du top de leur spécialité. Ils tiennent beaucoup à leur personnage et n'apprécient guère qu'il soit malmené. Leur personnage est sensé avoir un passé troublé, ce qui ne se ressent pas vraiment. Au final peut actif et pensant beaucoup trop à leur survie, il ne faut pas hésiter à les laisser mourir.


4 - Les chiants :


  Un seul but, ruiner le scénario. Le MJ devra soit les tuer, soit rendre impossible leur objectif. Des plaies ambulantes qui ne pensent qu'à détruire les objets à récupérer, tuer les personnages porteurs d'informations, ne pas aller aux endroits conseillés, etc.


5 - Les félons :



  Piller leurs camarades, les laisser mourir, sauver sa peau, utiliser ses compagnons comme appâts ou comme gain de temps, récupérer la gloire de leurs faits d'arme. Avec eux, chacun pour soi, inutile de laisser ces petites frappes continuer à agir. Débarrassez-vous en.


6 - Les MacGyver :


  "Quoi? Du gruyère et un micro-onde? Pas de problème, je vais réduire cette immeuble en tas de cendres."
Au delà des capacités de leurs personnages, ils vont tout récupérer et se servir de tout. Faire n'importe quoi est leur hobby, et il est toujours agréable de les regarder faire.


7 - Les joueurs presque parfaits :


  Ils vont suivre le scénario à la lettre, faire ce que vous attendez d'eux, ne pas tuer ceux qu'il ne faut pas tuer. En somme ils vont faire la partie parfaite. Mais c'est chiant! Aucune surprise, aucune initiative à la con. Comment s'amuser avec des gens sérieux?

mercredi 7 octobre 2009

Episode 100 - Que le 100° post soit.

Je tenais à ce que ce centième post soit plus ou moins mémorable, une sorte d'immonde pavé lubrique et incestueux dont les plus faibles aurait du mal même à imaginer son existence. Quoique de plus normal donc pour moi que de poster sec. Enfin quand je dis sec, je veux bien entendu dire que j'ai bu, et que le rhum, quoique bon merveilleux et convivial me permet de me sentir heureux, libre, ivre, imaginatif (l'un de ces état est lié à l'alcool, les trois autres constituent mon état de bien-être habituel. Et c'est ainsi que moi, Docteur Hareng, Arentar, Alex, Pull Jaune, Shyman, Poto Hareng, votre bien aimé serviteur, dix-septième descendant de la dynastie fishesque, sûrement descendant d'un grec quelconque vu mon nom de famille, apôtre de la non-genèse, archange de mignonneté, enfin moi quoi, je vous présente le centième article de mon blog. Vous seriez en droit de vous dire, "il est sec, il va dire de la merde, ça sert à rien de le lire". Oui vous pourriez, mais au final, faisons un rapide résumé de ce blog.

J'ai commencé par raconté deux-trois choses, je ne savais guère que mettre à l'époque, et tenir un blog tenait pour moi de l'improvisation littéraire et théâtrale, ce qui est,malheureusement toujours le cas aujourd'hui. Ce blog avait-il un but? Je ne sais pas. Si aujourd'hui je devais décrire le but de ce blog, écrire ce qui me passe par la tête, satisfaire les quelques rares lecteurs, je ne sais même pas combien ils peuvent être. Peut d'entre eux laissent des commentaires, et je connais les lecteurs réguliers. Donc satisfaire trois lecteurs? Non. Ce ne sera définitivement jamais le but premier. Je dirais plutôt que ce blog est un moyen de m'exprimer. Evidemment bien différente de ma façon publique et normale de m'exprimer. Mon expression écrite est, je le pense, nettement meilleure que mon expression orale qui bourré ou fatigué atteint des somments. Puis aussi, je suis timide. Finalement, ce blog reste un bon moyen pour passer outre la timidité. Mais là, vous me direz, cet article à l'air sérieux, je parle de moi, ça devient long chiant et pénible. Et bien oui, mais comme le reste de ce blog. J'y apparais comme un égocentrique, imbu de sa personne, ce qui au final n'est peut être pas si faux. La plupart des notes de ce blog sont parmi les pires choses que j'ai jamais lu, même si d'un point de vue purement grammatical, les forums regorgent de créatures infâmes. Ça c'est un petit état du passé du blog, contrairement à d'autres, je parle quand même beaucoup de moi, et je pense que c'est chiant.

Maintenant? Ce blog n'a plus réellement pour but de m'exprimer, je suis préoccupé par des choses sans importance telles que "j'ai pas posté depuis 3 jours", "est-ce que mon public va aimé?". Insignifiantes choses, ce blog est pour moi, et il n'est pas au service des autres, je réussirai peut être même à me dire qu'une horde d'alien tentaculaires d'Uranus viendra me kidnapper afin que je leur raconte ma vie. Enfin ça c'est pas pour tout de suite. La vie, la mort, ça c'est des sujets réellement intéressants, peut être même en spécifiant plus les sujet. "lol mes vidéos à la con" : qui ça peut bien intéresser? Tant qu'on a pas vu une vidéo, on ne rate rien, tant qu'on ne connait pas l'existence de quelque chose, on en éprouve pas le désir. C'est ça le dur constat de la vie. Un enfant qui a vécu toute sa vie devant une télé, un autre qui ne l'aurait jamais connue, lequel souffrirai de son absence? Ici, pareil, mais qui pourrait bien souffrir de mon absence, seulement les gens qui me connaissent, et encore, pas tous. On en est à se demander si ce blog n'est pas un message "SOS". Si plus de gens le connaissaient, ils s'intéresseraient à moi et tout... COOL!
Mais finalement, je m'en fous, d'ailleurs toi lecteur, oui toi! Déjà t'es allé jusque là. Bravo, t'as du mental, tu pourrais survivre à une fin du monde psychologique. Mais arrêtons nous là pour le sérieux. Place à la bonne humeur et à la merde en paquets de douze qui peut sortir de mon cerveau.

Le blog. Son avenir. Comment le décrire.

Mauvais. Tant que son auteur ne s'équipera pas d'un staff compétant, on court à la banqueroute. Les prévisions financières sont mauvais, un recul de 12% sur Wall Street. Il faut réagir. Premièrement, attirer des clients / lecteurs. Je pense développer le côté créatif du blog. Ajouter une section Hareng choriste, avec chaque année un enregistrement d'Hareng au champ. On attend déjà "Back in Black" me dit-on dans l'oreillette. Du fantastique. Le public se lasse, inventons des systèmes de vie ou de pensée saugrenus. Le public sera ravi, et l'or coulera à flôt.
Des histoires sur moi-même c'est cool, mais parler des autres c'est mieux, puis ça fait moins égocentrique, ce qui est bien entendu mieux pour l'audimat.

Marchandise, commerce, sondages, renseignements. L'industrie est en route, un système de penser basé sur les bénéfices. Quelle satisfaction psychologique? Bah si, une, "j'ai plein d'argent, kiki tout dur". L'argent et le statut social n'apportent rien mis à part l'autosatisfaction, représentée ici par un kiki tout dur. Bon d'accord, cette image s'applique majoritairement aux garçons. Mais tout le monde en comprendra le sens. Toi public, oui toi qui n'a toujours pas décroché, que dirais-tu si tu étais respecté de tous et si tu avais argent illimité? "J'ai un kiki tout dur!", parfaitement, comme tout le monde. Quoi de plus naturel. Au final, ce qui me désole, c'est que même si j'ai envie de continuer et de perpétuer ce blog qui en a inspiré tant. Oui, ce blog est la source de moult blogs tous nuls et chiants. Parfaitement! C'est le manque de commentaires qui m'empêche réellement de m'orienter vers quelque chose de propre, soigné, ordonné,... Quelque chose de non-aléatoire en somme. Restant dans un axe d'écriture et plus ou moins de thème.
Tandis que là, j'ai envie de partir dans du fantastiquo médiévalo gore, façon post apocalyptique, avec bien entendu "c'est le monde actuel, mais demain vous voyez, une couille dans le potage d'Alice et PAF! ça donne ça".

Je viens de relire cette dernière phrase, car ouai, ça fait genre vingt-cinq minutes que je tape ça, et j'arrive à la sublime conclusion, et "c'est le monde actuel, mais demain vous voyez, une couille dans le potage d'Alice et PAF! ça donne ça" vient de m'apparaître comme un sujet passionnant. Mais encore faudrait-il que l'idée soit vendeuse.

Bonne nuit, bon sevrage, bientôt 6h de maths d'affilé ("Mummyyyy!"), et puis vous me verrez chez momo, parce qu'il mo mo bien.

jeudi 1 octobre 2009

Episode 99 - Pandémie.

Et voilà, je suis pris dans ce flot merdique des malades. Malgré tout je reste optimiste, un ptit rhume de rien du tout, purée jambon et c'est reparti comme en 14. Aucune crainte de voire débarquer des hordes de médecins et de pharmaciens, les camionnettes emplies de vaccins et de masques en papier à écouler. Mais là où on pourrait se dire que le docteur Hareng est diminué, non, bien sûr que non. Bien au contraire, je suis là pour vous prouver l'inverse. J'exerce mes réflexes en conditions de faiblesse. Les moustiques subissent sans aucun préavis les affres du terrible et redouté "Main droite main gauche". Il est clair que les quatre premiers moustique de cette session d'entrainement du Docteur Hareng regrettent leur intrusion dans mon espace vital et privé. Mon collègue et ami, sa majesté des mouches est en ce moment même en pourparlers avec le ministre des affaires étrangères moustiques. Nous espérons bien entendu pour la survie de son espèce qu'il acceptera nos conditions. Il va de soit que pour contrôler le monde, une armée d'insectes assoiffés de sang sera un soutien plus qu'appréciable à mon armée mouchesque.

Malgré mes armées et mes fidèles de par le monde, il va de soit qu'une armée ne bougera pas si son seigneur n'entame pas lui-même les hostilités. Et pour faire plier des nations, rien de tel que de s'attaquer directement à ses dirigeants.


Qu'on se le dise, je ferais plier ce monde et y instaurerait un règne ferme et strict. Mon empire sera basé sur une monarchie dotée bien entendu d'un ministère dévoilé lors d'un de mes précédents posts, il va de soit que mon italien préféré aura la charge de la mafia et de l'Italie. Une mafia contrôlée et légèrement régulée est une alternative très efficace à un gouvernement. Plus locale et plus au courant de la situation, il est normal que son principe perdure.
Ma monarchie me verra bien entendu comme roi. Je n'ai que faire de mon bonheur personnel, aucun besoin de gâcher tout l'argent du contribuable dans des réceptions les plus décadentes possible. L'héritier ne sera pas désigner par droit de sang (ou quelque soit le nom normalement attribué à cette chose), je désignerais bien entendu un successeur adapté, et ce avec des critères bien à moi.
La noblesse ne sera pas signe de richesse, mais plutôt de good ambi. -Boulet- ferait bien entendu parti de la haute "noblesse".

Houla, je m'emporte, revenons en à cette maladie infâme. Moi, robuste et vaillant, il serait inconcevable que cela dure plus de quelques heures. Comptez sur moi pour réduire à néant les souches de cette vermine. Je deviendrais immunisé à cette plaie et tranquillement vaquerait au milieu des faibles.

Plusieurs destinations importantes s'offrent à moi, je dois établir les premiers avant-poste de mon territoire. Orléans, Chartres et Angers ayant été conquis avec succès, je vais maintenant avoir pour objectif les villes de Montpellier et Strasbourg.

Tenez vous prêts à me subir, à m'héberger, à me nourrir, à me supporter, à me craindre. Vous, peuple de France, craignez-moi comme je crains la mort (je ne crains rien, ni même la mort, cela va de soit).
Demain est un nouveau jour. "Le peuple français mérite mieux que ses dirigeants." Je serais là au pied levé pour prendre la relève. Tel le cinquième cavalier de l'apocalypse, je sèmerais fun, musique de qualité, films de merde incontournables et désolation. Oui, pour ceux qui le savaient pas, il existe dans les évangiles secrets un cinquième cavalier de l'apocalypse.
Laissez-moi donc vous narrer ceci :


Il s'appelait Bobby Le Blagueur, il arpentait le monde, chevauchant une loutre géante. Lorsqu'il apparut pour la première fois, ce fut en Assyrie, près de la ville de Riljey, armé d'un lance pouic et d'un kebab. Ses cheveux longs flottaient au vent, sa barbe mal rasée, une hygiène déplorable. Loin des principes charismatiques de l'époque, il ne fut pas retranscrit dans les évangiles classique pour son manque de rigueur plus qu'évident. Manque de travail, manque de volonté, manque de motivation. Son incapacité à faire le mal lui valurent le mépris de ses ennemis comme de ses amis. Trop avant-gardiste pour son époque, la foule le rejeta et considérait comme un raté.

Encore un passage inconnu de l'histoire. Quel dommage que la culture ne se transmette pas aussi bien que ma recette de croque-monsieur. Le monde pourrait presque devenir parfait...

A tchao bonne nuit!

dimanche 27 septembre 2009

Episode 98 - Le bonheur.

Si le bonheur devait prendre forme, que serait-il?

La question est méchante, et je dirais même impossible à répondre, mais si je devais me représenter le bonheur, je pense que j'arriverais quand même à en sortir une réponse. Dans tout ce que j'ai vécu, je dirais que la semaine au pays de Galles entre amis dans une immense maison, avec d'immense paysage presque vierge s'en rapproche beaucoup. C'est bien pour ça que je garde précieusement un petit ours en peluche Gallois sur mon porte clé.

Malheureusement, même si c'est le bonheur, il n'est pas total ou absolu. Le bonheur se décomposerait en différentes catégories qui devraient satisfaire les cinq sens, et aussi permettre de ressentir un bon nombre de sentiments.

- Le toucher pour commencer. L'herbe, le bois, la moquette, des trucs doux. Des matières chaudes. Le métal est froid là où le bois lui est chaud. Les maisons sont en bois et pas en métal, surprenant? Être entouré de métal est nocif. Pour se sentir bien, il faut être dans des endroits agréables au toucher.
- L'odorat : en gros, faut pas que ça pue, mais ça, ça paraissait évident.
- La vue : les grands paysages, la nature, le soleil,... Sans soleil, la joie aura du mal à atteindre ne serait-ce que 50% de son niveau maximal. La lumière est essentielle. Les pièces mal éclairées sont pénibles pour quiconque vit ou travail dedans.
- Le goût : le bonheur du goût pourrait être représenté par un kebab, mais là, je préfère ne pas m'avancer.
- L'ouïe : la musique, de la musique qu'on aime, n'importe laquelle. Sans musique, on détruit une de ses principales sources de joie. Néanmoins, la musique n'est nécessaire que si le silence n'est pas accessible. Par exemple, lorsque l'on vit dans une rue où de nombreuses voitures passent, que les voisins passent l'aspirateur, qu'il y a des travaux. Si on est tranquille, dans un silence agréable (petits oiseaux, cours d'eau, vent,...) la musique perd son intérêt. Si le silence est, au contraire, morbide (aucun bruit, des grincements de porte,...), qu'il ne comporte aucun signe de vie, il représente la solitude, et votre second meilleur rempart est la musique.

Fini pour les cinq sens, mais finalement, il y a d'autres choses qui sont nécessaires pour le bonheur. L'amour, l'amitié, l'absence de stress, l'absence d'obligations,...
On est aussi en droit de se dire qu'il y a deux sortes de bonheur : le bonheur en tant qu'émotion, court, éphémère, il restera comme un bon souvenir ; le bonheur long, une façon de vivre, le meilleur des bonheurs, mais quasi-inaccessible malheureusement.

Être rentier, dilettante vivre dans une grande maison à la campagne, perdue au milieu de la nature, avec ses amis, des animaux (chiens, chats), n'avoir aucun soucis, ne se préoccuper de rien. Cela s'avère bien entendu impossible, mais ça serait tellement bien...
Mais bon, vacances en campagne dans une grande maison entre amis. Court et parfait. Comment pourrait-on vouloir vivre autrement ses vacances pour le reste de sa vie?

jeudi 24 septembre 2009

Episode 97 - Une vie.

On a bel et bien une seule vie, donc au final, comment faudrait-il la vivre?
Il y a des milliers de manière de vivre une vie. On peut être pessimiste ou optimiste.

Il existe plusieurs critères sur lesquels on se fixe. La mort déjà pour commencer. On peut attendre la mort. On peut vivre comme si la mort pouvait arriver à tout moment comme une fatal error. On peut se dire que la mort c'est après 60 ans. Il y a des milliers de façons de voire les choses. Personnellement, je penche pour l'option la mort arrive n'importe quand, le truc c'est de faire comme si elle ne pouvait pas m'avoir jusqu'à la fin. C'est assez pitoyable d'ignorer ce genre de choses, mais au final, la fuite est ce que je fais de mieux, je suis pas trop motivé pour vivre dans l'attente de la fin. Un peu comme les film, pourquoi est ce qu'il faudrait attendre la fin? Non, on regarde un film pour le voir de bout en bout. Sauf si c'est un navet. Pour la vie, c'est pareille, si elle était si nulle que ça, ok, j'attendrais la mort.

Faudrait-il vivre au jour le jour? Vivre au maximum, à pleine vitesse, tout faire pour en regretter le moins? Ou bien alors tout planifier pour au final se retrouver dans une routine accablante et ennuyeuse? Pourquoi est-ce que les gens s'obstinent à  suivre le même schéma? J'aime me dire que je fais tout à l'arrache, que je ne planifie rien, juste une direction, une idée, peu précise et flou, mais qui au final si je la mène à son terme sera cool et sympatoche. Mais bien sûr, comme on part sans rien planifier, on est sûr que ça peut partir en live à tout moment. Mais pourquoi est ce que ça serait désagréable?

Le travail. Il représente 40% de notre vie. C'est ce qu'il faut choisir avec discernement. Il est primordial de faire ce qui nous plait. Travailler dans un bureau avec deux trois collègues qu'on n'apprécie guère n'est pas conseillé. Il faut faire très attention à ce que l'on va choisir. Il faut reconnaître qu'avec les études, entre autres, c'est pas évident non plus de faire ce qu'il faut.

L'amour. Je ne m'étendrai pas dessus.

Les amis. Tout repose sur eux. Il faut s'attacher à ses amis, il ne faut pas les perdre, c'est notre bien le plus précieux. Il faut être prêt à tout pour eux, car les vrais amis sont rares. La distinction doit être faite entre amis et copains, collègues, camarades de classes, etc. Les copains sont vos amis aussi, mais ils ne savent pas tout de vous, vous ne savez pas tout d'eux, et votre amitié peut disparaître subitement.

La vie, c'est une alchimie, on fait tous ce qu'on peut, le but n'est pas de survivre ou d'être le plus proche du sommet de l'échelle sociale. Ce qui compte, c'est de savourer chaque petit moment, même les moments difficiles.

dimanche 20 septembre 2009

Episode 96 - Jeu de rôle.

Le jeu de rôle, qu'est ce que c'est qu'est ce que ça nous apporte?

Comparé à la vie réelle, le jeu est beaucoup plus accentué, on se spécialise rapidement, pas besoin de réussir des études, on est ce qu'on veut, et on peut changer de personnage comme de chemise et pas par le biais d'une formation en cuisine. De même, par bien des aspects, il oublie des milliers de détails. Cuisiner, je lance un dé à 20 faces. OK. "6" C'est pas terrible, mais c'est mangeable. On attribue la note de son plat au hasard? Non. En fait, ici, on synthétise en une plusieurs actions : faire chauffer la poêle, mettre de l'huile, mettre la viande, réduire le feu, mettre la bonne dose d'épices, vérifier la cuisson, etc. Toutes ces actions sont faciles, 19 chances sur 20 de les réussir. En mettant bout à bout toutes ces actions, on a une vingtaine d'actions qui s'accumule. On ne va pas faire lancer 20 dés au joueur. Ça serait du sadisme pur et n'aurait aucun impact sur le jeu. Non, dans le jeu de rôle, on met tout ça aux oubliettes, on garde l'important, on enlève des choses qui entre nous soit dit restent ennuyeuses.

A quoi est ce que ça sert donc? Mes parents, lorsque j'étais collégien, me disaient que trop de rôlisme était nocif. Mais en quoi? Qu'est ce qui peut être malsain? Ce qu'on y fait? A l'époque j'avais répondu tout bonnement "tuer des orques", c'était un peu ça, mais sous ces mots se cache un acte bien plus complet et complexe qu'il n'y parait. Le jeu de rôle repose à 99% sur l'imagination de tous. Jouer une partie d'un jeu de rôle, c'est sombrer dans son imaginaire, passer du bon temps avec ses amis. Partager des idées farfelues et extrêmes, faire ce qu'on ne ferait jamais. Bien évidemment, les gens voient la violence en premier lieu. Pourquoi? Elle est beaucoup plus présente dans l'actualité que dans le jeu. Certes on tue, et alors? Quel pourcentage de rôliste s'est transformé en horde d'affreux tueurs psychopathes? Pour la plupart les rôlistes sont des gens posés. De nombreux articles appuient cette idée, comme notamment celui-ci : http://squiggle.be/index2.php?option=com_content&do_pdf=1&id=604
Oui, le jeu de rôle est bénéfique. Non, pratiquer la violence à outrance dans un univers imaginaire ne transforme pas en psychopathe bien au contraire. On se détache d'un monde réel où l'on se sent parfois mal ou en détresse. Et je pense que c'est vraiment la clé du jeu de rôle. Voir cette activité comme une échappatoire, c'est dans le font très pessimiste, mais tellement vrai.

Néanmoins, il reste dans ce monde des personnes qui s'échappent presque tout le temps. Qui fuient la réalité. Des personnes comme moi, à qui l'alcool ne fait pas peur.
Avoir un travail, les impôts, les horaires fixes, les patrons sur son dos, les collègues qu'on apprécie pas forcément toujours, ne pas être passionné. Pourquoi diable est-ce que les gens sont heureux de grandir? De ne plus être étudiant? De ne plus être insouciant? Pourquoi est-ce que les gens croient que l'objectif de la vie est de survivre?
Bref, vivement que j'ai ma boutique.

jeudi 17 septembre 2009

Episode 95 - Hareng président...

...un pays nommé Désir.

Si seulement... Si seulement cela arrivait un jour. Moi, président. Pauvres de nous, je pense déjà à l'anarchie qui règnera, le chaos dans les rues, la terreur dans les écoles,...
Mais ça, ce n'est que la façade des choses, je sais au fond de moi que je ferais de grandes choses. Des choses géniales, sublimes, faramineuses! Et pour citer un proche collègue : "Si un quelconque parti accepte ces idées, j’accepterai évidemment de le conduire à la victoire avec mes idées, mon équipe et leur argent. Ce sera un plaisir."

Ce genre de choses ne peut évidemment commencer que par une seule chose : un ministère!

Premier ministre : Amaury (what else?)
Ministre de l'intérieur : Yann
Ministre de la justice : Geoffrey
Ministre de l'éducation : Laurianne
Ministre de la culture : Marianne
Ministre de la santé : Guillaume
Ministre de la jeunesse et des sports : Romain
Ministre des affaires étrangères : Syara
Ministre de l'écologie : Katia

Rapide, succin. Évidemment, mon contrôle reste globale (l'éducation et la culture... ça va chier!).
Il va sans dire que la fête du travail sera remplacée par la fête du jeu. Il est évident que le travail n'a pas besoin d'être fêté. Notons aussi une révision totale du programme scolaire. Accélération notamment des cours de mathématiques. Modification des cours de musique et d'art-plastique pour qu'ils soient culturels et non pas ces farces à la flute à bec.

D'un point de vue de la santé et des médias, faisons table rase. Aux chiottes les propagandes, aux chiantes l'abrutissement des masses et le mensonge. Libérons le journalisme, donnons force de paroles aux journalistes investigateurs fiers de leur métier! De même, cessons la propagande des mannequins, VIVE LE SAUCISSON ET LES KEBABS!

Faisons de Blood Bowl un sport officiel, pourquoi est-ce qu'il serait interdit par rapport au catch ou à la boxe?

Pour la nature, plus de voiture? Non, peu réalisable. Alors laissons tomber, c'est pas mon secteur.

Pour la justice, je ferais un choix sûrement peu populaire, voir même je serais haïs de tous pour ce choix : on ban les criminels. Prendre perpet' reviendrait à un bon gros ban-life des familles. Zou, hors du pays, tu reviendras quand t'auras compris qu'ici c'est mieux.

Pour les affaires étrangères? Restons calme, pas besoin de guerre, on reste dans son coin, on supprime l'armée nationale en la transformant en européenne, et on suit le mouvement.

Ça me parait en soit déjà des projets raisonnables. On simplifie tout, on divise la paperasse par 100 et on arrive à un système simple rapide et expéditif.

mercredi 16 septembre 2009

Episode 94 - Femmes je vous aime (mais pas toutes).

Une fois n'est pas coutume, je vais répartir des gens en les mettant par catégorie. Évidemment, je garderais mon objectivé habituelle et ferais ces catégorie quoi qu'il en coûte. Je sais que chez les personnes dont je vais parler aujourd'hui les représailles sont dures, extrêmement violente même pour certaines. Oui, je serais une fois de plus un martyr pour vous apporter distraction et sourire, mais cette fois, au moins, je suis habillé (pull requis, il fait beaucoup beaucoup trop froid).

Bon, donc les femmes... Les classer, ouai, en se basant sur ce qu'on connait ça fait quand même pas mal de caricatures/clichés... Bon, en avant comme avant.

Les trop gentilles (également appelées "les niaises") :
Perdantes nées, tout le monde profite toujours d'elles à sa façon. Influençables au possible, se sont également les premières qui viendront grossir les rangs des sectes (la mienne y comprise). Certains les trouvent attachante, mignonne ou encore sympathiques. Détrompez vous, évitez les comme la peste! Elles vous mèneraient à la faillite en trois minutes montre en main. Certes, elles sont gentilles, certes elles sont sympa, mais elles sont un peu attardées quand même sur certains aspect évident de la survie et du règne animal.

Les profiteuses :
On les trouve surtout en cours. A l'affut, elles cherchent les intellos, ceux qui prennent les cours, ou même les redoublants qui ont les cours de l'an dernier, etc. Bref, des plaies, elles sont sympa, mais faut pas rêver.

Les rôlistes :
Aussi charmantes qu'elles soient, les rôlistes n'ont pas à être appréciées car elles sont rôlistes. Au contraire, pour la plupart, elles jouent dans l'excès, soit trop violentes, soit trop sérieuses, soit trop gentilles, naïves et insouciantes, elles n'arrivent pas à cibler la perversité pourtant avérée du MJ. De même elles ont souvent du mal à en sortir, on verra souvent des femmes parler genre "je suis une petite elfe patatijesuisniaise etc...". Oui, une elfe, évidemment, quoi d'autres? Les filles aiment pas les nains.
La perception de la rôliste est toujours modifiée par le fait qu'elle est une femme avant tout. Le charisme de Legolas serait plus élevé que celui de Gimli? Arrêtez de vous foutre de moi, un nain de 100 kg pour 1 m 20, avec la grosse hache, ça ça a de la gueule. Là y a des phéromones. Et ça bouffe pas des graines, non, du boeuf, de la viande, du saignant, de la bouffe charismatique en gros.

Les rebelles :
"Ouaich, d'où qu'tu m'parles là! J'suis une rebelle!"
Immondes, incapables de se sentir gentilles ou quoi, elles s'affirment et hurlent sur qui elles peuvent, incapables d'êtres elles-même. Élevées dans une société qui les y incitent, elles s'adonnent avec plaisir à la violence et à la joute verbale. Fière de leur répartie cinglante comme du roquefort, elles font preuve d'une formidable endurance verbale qui les fera, pour certaines, progresser jusque dans la musique. Où va le monde...

Les blondes :
Pas nécessairement de couleur de cheveux. Une blonde serait soit une femme dont le cerveau serait en Sibérie (le temps que les données reviennent, vous comprenez...), soit qui n'a pas de compilateur ("j'ai pas compris ce que tu voulais dire"). Je ne veux absolument pas être méchant. Pour la plupart, ces filles sont gentilles et attentionnées, de vrais anges comme on dit, mais y a du brainlag.

Les survoltées :
Speed, énergiques, rapides comme l'éclair, elles partent rapidement dans des trips au court termes qui vous feront regretter l'absence d'acides à portée de main. Écoutez-les, c'est souvent instructif en plus d'être agréables.

Les manipulatrices :
Ne leur confiez rien! Les petits secrets gênant, des photos de vous enfant, des faits à la con. Ça vous retombera dessus tôt ou tard. Enfin si vous vous en foutez comme moi, c'est juste de bonnes amies et de bonnes confidente, enfin, si elles sont curieuses.

Les stressées :
Toutes en stress, tout en sucre. Ne les prenez pas par surprise, on risquerait un AVC. Essayez plutôt de rester gentil, de prendre sur vous, de ne pas craquer. Très important. Ne leur parlez surtout pas en période de partiels! En effet le stress est à son comble, et vous vous retrouveriez vite enfouis sous une énorme vague de complaintes et de lamentations capables à elles seules de détruire l'empire state building.



Comme d'habitude, j'en rate, mais j'essaie de faire ce que je pense le plus globale et précis possible, enfin je me comprends.
Toutes ressemblance avec des personnes réelles est évidente. Ne reste plus qu'à éviter que ce topic tombe entre de mauvaises mains.

mardi 15 septembre 2009

Episode 93 - Nuits propices.

Eh voilà, pour une fois j'essaie de me coucher tôt et tout. J'éteins le pc, met cinq minutes de Red Hot, me brosse les dents et zou, au lit. Malheureusement, lorsqu'on aimerait que tout se passe bien, on sombre dans l'étendue de ses réflexions, et impossible d'y trouver le sommeil.
En fait, si je voudrais vraiment progresser et me sentir mieux, faudrait que je fasse ça tout le soir, et que je m'enregistre avec un dictaphone, que peu à peu je fasse tout concorder et que je m'y tienne à la lettre.
Si à chaque fois que j'avais eu ces longues heures de réflexion en attendant l'étreinte absente du sommeil, je pense que ma vie au court de ces dernières années n'aurait pas été la même du tout.

Principal sujet de concertation personnelle : les études. Évidemment, pour quelqu'un sûr de lui, et qui aime ce qu'il fait, ce genre de sujet n'a pas lieu d'être. Mais pour quelqu'un dans le doute comme moi, ça reste primordial.

Second, et loin derrière : demain. Que faire demain? Logique. Simple et efficace. On ne s'y tient pourtant jamais et tant mieux. Plutôt que de donner une liste précise, je me contente désormais de deux trois trucs à faire, important, ou bien des ordres d'idées.

Troisième, mais pas des moindres : l'avenir au court terme (études exclues). Est ce que j'ai envie de passer l'année qui vient à ne rien foutre? A me balader dans toute la France? A voir mes amis? A travailler? Toujours important. Ce soir, je me disais que je passerais bien un an à squatter chez les amis, à droite à gauche, mais ça serait quand même difficilement réalisable.

Quatrième, la place du couillon : ce qui ne va pas en ce moment. Bien sûr, pas quelque chose auquel la solution est évidente ou déjà trouvée. Plutôt : je me fais chier, que le pc pour me distraire. Si on sortait en bar. Pourquoi les autres sont rentrés? Du coup on peut plus faire des grosses soirées tous ensemble comme pendant les vacances. Ça me manque déjà. Jvous aime les gens!

Cinquième, bien mais pas top : faudrait que je dorme. Évidemment, tout le monde l'avait vu venir celui là. Mais bon, on y pense, et on ne fait que ça, c'est pas comme si j'étais capable de résoudre ça autrement qu'en faisant quelque chose d'utile qui m'occupe (qui d'ailleurs occupera des gens, oui faîtes pas les innocents!).

Sixième : achievements. Ouai, ce que j'aimerais faire avant un certain temps. Genre des résolutions, mais plus comme des trucs à faire ou à finir. Jeux / 100°épisode sur ce blog / soon mon anniv / continuer l'autre blog / faire un bouquin / découvrir et baptiser la loi de Hareng / etc...

And last but not least : l'avenir au long terme. J'y ai tout simplement pas pensé, à quoi bon? J'ai déjà les grandes lignes, le fignolage? Pourquoi faire? On verra sur place, j'aime pas trop planifier.

Bref, pleins de petits sujets.
Et comme j'arrivais toujours pas à dormir, ni une ni deux, je rallume le PC (éteint pour l'occasion (pourquoi je l'avais éteint d'ailleurs?) ça arrive pas souvent), je me balade le temps que ça démarre re-traîne, feuillète un -Boulet-. Classique, je me pointe, et raconte tout ça.

Mais vous vous rendez peut être pas compte, mais c'est que pendant tout ce temps de réflexion et de traitement de texte, moi, je suis à poil, sur mon fauteuil, à me geler les couilles.

Hareng, un vrai héros de la nation, un homme comme il en faudrait plus, il sacrifie le réchauffement de ses génitales pour nous dédier son savoir et son humour.
C'est classe, je me sens honoré et tout. "Hareng, vous nous avez sacrifié votre santé pour nos rires et nos sourires. Malgré cela, vous avez su restez simple." Comment ça je récupère des citations de -Boulet-? Mais non, enfin presque pas, un tout petit peu.

Je me donne tout un air de martyr, de sacrifié, alors qu'en fait, c'est pour avoir froid, me fatiguer, et quand je retournais dans le lit, là, qui me fait les yeux doux, je vais être tellement biennnnnnnnnnnn!
La couette qui n'attend plus que moi. Ces oreillers qui ne vivent que par moi. Ces draps qui scandent mon nom. Ce matelas qui ne souhaite que mon corps. Ce sommier qui désire mon cœur brulant. Face à tant de complaintes, que faire? Attendre, être désiré doit toujours rester un plaisir.

Je vais également vous faire profiter de LA chanson de la nuit.

Nina Simone - Feeling good

Sur ce, bonne nuit, à bientôt!

dimanche 13 septembre 2009

Episode 92 - Cinéma & co.

http://ernest-amibe.blogspot.com/2009/09/episode-4-un-peu-de-dissertation.html

Suivant ce sujet, j'ajouterais ma pierre à l'édifice.
Qu'est ce qu'est sensé être un bon film?

Déjà, laissant tous les détails techniques de côté, après avoir vu un bon film, on en garde une impression. Ne pas se faire chier, ne serait-ce que sur la fin, est indéniablement nécessaire.
Pour ne citer que "La possibilité d'une île", pure navet de France, on s'emmerde de A à Z.

Chaque genre de film a ses bons, voir excellents films. Les comédies ont les Monthy Python (en plus de films tels que Tropic Thunder). Quentin Tarantino se pose en tant que maître, chacun de ses films étant une référence au point de vue de la réalisation, et on ne parlera pas de Inglorious Basterds, excellent voir plus encore.

Commençons donc à développer les caractéristiques d'un bon film. La durée? Sans importance aucune, mais, on ne doit pas pour autant rester sur sa faim, ce qui est également très important pour les adaptations de livre ou de BD. A ce titre, on notera Harry Potter, un échec si je peux me permettre, en dehors du fait qu'ils le transforme en teenage movie, les films sont bien trop courts pour développer ce qui aurait du l'être. Tandis que Watchmen, lui, bien que modifiant la fin du scénario, prend le temps qu'il faut pour présenter les personnages par des scènes certes lentes mais nécessaire, tout en restant très soignées.

Les acteurs? Oui. Les acteurs sont bien souvent indispensables. Acteurs célèbres? Pas nécessairement, il faut juste des acteurs vraiment bien intégrés à leur personnage et qui jouent bien. Exemple : Christoph Waltz dans Inglorious Basterds. Clint Eastwood dans Gran Torino.
Pour les exemple de ce qu'il ne faut pas faire, n'importe quel film de série B ou Z vous expliquerait dans son jeu que "Safopafer".

Safopafer

La BO, oui, dans une certaine mesure, dans Pirates des Caraïbes, elle est bien, mais pas non plus nécessaire à un film déjà très agréable. Mais dans des films comme The Boat that Rocked, elle est tout bonnement génialissime et nécessaire à rendre le film très bon. Évidemment, ça permet aussi de relever la beauté des scènes, dramatiques ou pas. Mais là, Quentin Tarantino nous montre allègrement que des musiques sensées ne pas être en relation avec des scènes de mort ou autres passe en fait très bien. Changeant certes l'ambiance de cette scène, mais n'en changeant pas le sens. Au contraire, ça allège des moments ou dans un autre film la scène aurait été pesante.

Alors quoi? Qu'est ce qui peut rendre un film bien? Quels critères?
Il n'y en a tout simplement aucun. Cela peut dépendre des gens et de ce qu'ils pensent en ce moment. Tous les goûts sont dans la nature. Un bon film dispose des choses citées plus haut, mais rien ne peut le rendre bon plus que ce que ressentent les gens lors de sa diffusion.

Les films que je considère bons seront des navets pour d'autres. Et je pense de ces personnes que leurs goûts sont à chier. Tout restera subjectif.

samedi 12 septembre 2009

Episode 91 - L'enfer des courses.

Les courses, le shopping, les emplettes, autant de noms pour cette perfidie.
La tentation, c'est ce que m'inspire le plus les courses. Trainer dans les rues avec pour but de faire des courses, au final, c'est offrir son corps en pâture au diable. C'est également, mais selon un autre point de vue, tester sa foi.

Vous vous dites sûrement "pfff, nawak, je c ce ke je fè", mais malheureusement, vous passer devant une vitrine en flanouillant... Et là... c'est le drame! Vous tombez sur un magasin de saucisson fromage. Je sais je commence fort. A chaque personne ses faiblesses. Un des pires endroit, un concentré de vices, l'antre du démon en personne, le mal incarné serait probablement le supermarché. Vous passez peinard entre les rayons et là paf, un truc vous fait envie, parce que c'est bon, puis un autre.
Soit votre esprit est suffisamment endurci, et vous résisterez. Soit vous succombez.

Chacun a ses sept péchés. Par exemple, les miens sont :
-magasins de bricolages
-boutique de jeux
-fromagerie
-charcuterie
-boutique de zik (qui passe du reggae)
-magasin de manga
-literie

vendredi 11 septembre 2009

Episode 90 - Coucou Guillaume!

http://ernest-amibe.blogspot.com/

Boum, tu trinques! (Enfin on dira qu'à la dernière soirée c'est moi qu'ai trinqué, mais que c'est toi qu'à retrinqué à Finstere Flure. Ce qui au final donne mass trinquade ou trinquage, selon les habitués.)

Pour ceux qui connaissaient pas Guillaume, c'est la personne qui si elle avait le choix de réciter un poème ou une histoire, elle ferait l'intégrale du seigneur des anneaux version longue. Environ douze heures de dialogues apprises par cœur... C'est ça être fan...

Et donc, cette nuit, je me fais spam sur msn (évidemment je dormais, et c'est tout juste au réveil que je découvris ça).
"Guillaume a dit (01:14) :
hey doc
est ce que tu pourrais mettre un lien vers mon (nouveau et rutilant) blog sur le tiens ??"

Grossière erreur!
En effet, on ne demande pas à être linké, ça ne se fait pas, c'est très incorrect et grossier. On annonce plutôt l'arrivée de son blog, et de ce fait, étant l'incarnation de la bonté, je link. Mais je link aussi pour moi, comme ça, je sais quand y a des news (oui je sais je pourrais m'inscrire aux flux rss et tout... ça viendra). Pour en revenir au sujet, non, on demande pas à tonton Hareng. Jamais!

C'est naturellement que pour châtier cet énergumène que je lui dédicace un topic entier. D'ailleurs, à première vue, son blog est pas folichon folichon. L'écriture est compacte. Peu espacée. Sans virgules. Il reprend mes idées. Il écrit pas beaucoup. Il ne me cite pas. Il me taxe mes photos. Bref, pas très manné le garçon si je puis dire... Enfin c'est bon, ça ne reste pas le pire. Mais quand même, si il avait réfléchi à son blog avant de le créer cash.
En effet le jeune homme est retourné à Strasbourg, effectue sa rentrée lundi prochain, est seul, et déprime grâce à son "cœur d'artichaut" comme il le dit si bien. Donc, il crée un blog, comme ça, pour passer le temps. Mais créer un blog est un art. Et reprendre l'idée de titre de blog des autres est tout sauf judicieux. Honteux et faible seraient des qualificatifs beaucoup plus sensés.

Pour finir sur le pauvre Guillaume, je tiens à annoncer que dans son désespoir, il regarde des films. Hier il a regardé Watchmen. Loin de moi l'idée de critiquer Watchmen, qui est un très bon film. Mais plutôt du fait de regarder un film "sérieux" quand on est déprimé. Cela n'apporte strictement rien. Il n'y a que trois catégories de film qui font du bien quand on a le cœur en confiotte :
- les films à l'eau de rose ;
- les comédies bien grasses ;
- les suicides.

Le rôle de la première est évident. Celui de la seconde aussi, le rire a toujours été génialissime.
Quant à la troisième, son but est bien évidemment de se finir. Non pas d'en venir au suicide contrairement à ce que l'on pourrait croire, c'est impossible de se suicider à cause d'un film, faudrait être un crétin fini. Leur objectif est soit de faire pleurer toutes les larmes de son corps, et du coup, de trouver tout classe et beau et merveilleux, soit de permettre d'avoir un regard atténué sur sa situation.

En tant qu'homme qui aime les "suicides" (films tristes), je recommande cette catégorie quand on est seul. Les comédies à deux ou trois. Les films d'horreur à plus.

DEUXIÈME ANNONCE !

Le Guillaume est une créature solitaire vivant sur Strasbourg et en grand manque d'affection. Mesdames, il est de votre devoir de le réconforter. Donc, mesdemoiselles (ou mesdames, je suis moins sectaire que lui), si vous passez sur Strasbourg, allez lui faire une bise, un petit coucou. Je n'hésitez pas à me demander des informations complémentaires sur cette "pauvre petite chose" (véridique, on a entendu des filles le dire, mais nous n'en dirons pas plus).

Sur ce, bons baisers à bientôt.

PS : Momo, prends la deuxième annonce pour la mettre sur ton blog, entre amis, il faut être solidaire. Et remplace le "moi" par Docteur Hareng. :]]]]]]]]

jeudi 10 septembre 2009

Episode 89 - Back to the mall! Again!



Alors ça, c'est pour se mettre dans l'ambiance du post d'aujourd'hui.

C'est très con, comme d'hab, mais l'idée m'est venue pendant qu'on faisait des courses. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, dans mon esprit, l'association des caisses d'un supermarché à un jeu de combat en 2D, tel que Street Fighter ou Mortal Kombat, me parait on ne peut plus logique.

Vous arrivez aux caisses, tranquille, avec vos courses et là, BAM!

"CHOOSE YOUR CHARACTER!"

Bon, quelle caisse prendre? Finalement, c'est plutôt le terrain et tout, mais tu choisis bien ta caissière, la plus charismatique, la plus violente, celle qui tuerait un balrog à mains nues. Enfin on prend donc une caissière de qualité.

S'en suit de longs et pénibles affrontements avec votre personnage qui devra en découdre avec les "Terribles Clients". Et, pour la fin, le BOSS de Niveau : votre double maléfique (vous). Après ces glorieuses victoires, la caissière pourra enfin quitter le supermarché, elle a, une fois de plus, sauver son emploi!

Je pense que ce jeu serait passionnant. Enfin, ça dépend de l'adaptation.

mercredi 9 septembre 2009

Episode 88 - Les limites.

Loin de moi l'idée de récupérer les paroles de la chanson du même nom. Non, là je fais juste une mise au point personnelle sur les limites que je ne dois/devrais pas dépasser. Je préviens juste que je vais trouver de nouvelles limites au fur et à mesure, et que donc je risque de peut être déborder un peu du sujet. Je n'aime pas en arriver là, mais vous ne me laissez guère le choix.

Et voilà c'est parti!

Alcool :
-à jeun : 3 verres de rhum ;
-en ayant mangé : 6-7 verres de rhum.

Sommeil :
-pour conduire : 5 heures ;
-pour être supportable en cours et au travail : 5 heures ;
-pour être supportable en soirée : 4 heures ;
-pour profiter d'un bon lit : 10-12 heures.

Travail :
-pas plus de 2 heures, quelques soient les conditions (même en partiels).

Famille :
-pas plus d'un week-end d'affilé, sinon, c'est la crise.

Amis :
-no limit, bien évidemment, il faudrait être un monstre pour préférer le travail aux amis. En fait, il faudrait être un monstre pour préférer le travail aux amis. On devrait sacrifier son sommeil pour voir trois heures de plus ses amis.

Musique :
-temps max sans musique au volant : 5 minutes (LA raison pour laquelle j'aime pas conduire avec ma mère dans la voiture "Oh alex baisse le volume ça me détruit." ?_?) ;
-temps de travail sans musique : 30 minutes, après je fredonne ou chante ;
-temps de survie sans musique : 1 heure ;
Du coup, pour faire face aux imprévus dans la vie, je chante sous la douche.

Liv Tyler :
-une scène max, et encore c'est déjà beaucoup.

Audrey Tautou :
-0 minute.

Matter Star Wars ou Le Seigneur des Anneaux avec Guillaume qui lit le script avec une seconde d'avance et qui peut même se permettre de jouer la BO au Kazou. Priceless. Pour tout le reste, il y a Arentar Mastercard.

Les blagues carambar :
-illimité : mon esprit fut forgé par les pires, avec les pires, pour les pires. Il subbit un entrainement quotidien qui rend les blagues carambar "amusantes".

Les ours :
-trop mignon.

Les animaux attachants qui meurent dans les films :
-je vous hais.

L'aspirateur :
- 04h30 AM au plus tard.

Fin.
C'est un tour rapide des différentes limites de ce monde. Enfin à mon goût. Bien sûr, après relecture, je trouve ce post d'un intérêt néant, mais, je manque d'inspiration en ce moment, donc je vais quand même réfléchir à un truc sympa, mais je garantis rien.

jeudi 3 septembre 2009

Episode 87 - Le carnet, bof bof.

Petit constats rapides. Le carnet a plein d'avantages, tous ceux énoncés dans la note précédente entre autre. Mais je constate au fur et à mesure des situations que les contreparties sont nombreuses. En effet, le simple fait de l'utilisation du carnet cassera bien souvent des situations dans lesquelles des tonnes de choses seraient ressorties (ne le sortez jamais au lit par exemple).

Triste constat...

Mais ça reste génial pratique et utile! Alors équipez-vous en.
C'est presque aussi vital que la musique. Il est de ces personnes pour qui l'absence de musique est intolérable. Au hasard, moi. Faire de la daube vocale (chanter mal peut être acceptable quand même, nous sommes tolérants) sur une bonne musique est irritant. C'est comme si je vomissais dans votre foie gras, enfin ça m'irrite au même point.

Enfin comme vous l'aurez remarqué si vous preniez la voiture avec moi, la musique est indispensable pour conduire détendu. Aucun problème quand ça bouchonne ou autre, l'attente devient source de réflexion et de détente.

Voilà. C'était l'article inutile de la journée.

Episode 86 - Petit coup de pub.

Je vais me faire ma propre pub, parce que je risque pas d'avoir d'autres solutions.
Lien de mon nouveau blog.

Et voilà, un nouveau blog, où je mettrais que du texte, que des petites histoires, et pas trop régulièrement. Avec des fautes d'orthographe bien entendu. Parce que j'ai jamais été terrible non plus.

Donc c'était tout. Plus de lecture pour certains, rien pour d'autres.

lundi 31 août 2009

Episode 85 - L'Honneur.

Il est de ces choses dont notre devoir en tant qu'homme est de les respecter (noter que l'absence de majuscule sur "homme" est tout à fait volontaire et que j'assume tout à priori machiste que cela m'assigne).
Aujourd'hui, l'Honneur. C'est souvent anodin de remarquer que chaque chose a besoin d'honneur pour être valorisée à son maximum. Comme par exemple ce soir, vers la fin du repas. Ce pauvre morceau de pain était là sur la table, souffrant, sa vie aurait pu se terminer nature, ou bien dans la gueule d'un chien. Mais alors que je jetais mon regard sur lui, il m'apparut alors en ce croûton un charisme débordant. Comme si la nature entière implorait qu'on lui donne une fin héroïque, tragique.
Pour faire court, afin de satisfaire ce désir sincère, cette ultime requête, cette complainte, je consentis à lui accorder du fromage. Quel plus grand honneur pour un fragment de baguette que de succomber par le fromage. C'est ainsi que, voyant les yeux du croûton emplis d'une fierté infinie, j'ouvris moi-même mes yeux sur une nouvelle perception de la vie.

Si l'un de vous projette de me tuer, et cela est possible, rien que la lecture de ceci pourrait déclencher cette pulsion. D'ailleurs une fois, le son de ma voix conduisit une fourmi au suicide. True story. Et donc, si l'un de vous me tue un jour, je souhaite que ça soit avec du fromage.
Si vous manquez d'inspiration, je suis là pour vous aider.
- Étouffement par le gruyère (malgré les trous, l'air ne passe pas, si si!).
- Décapitation par le reblochon.
- Ablation des parties à coup de lame de roquefort.
- Noyade dans le fromage blanc.
- Ouverture des veines à coup de chèvre frais.
- Lavement à la mozzarella.

Les méthodes sont nombreuses, soyez imaginatifs!

dimanche 30 août 2009

Episode 84 - J'avais une idée.

Un carnet, c'est l'équipement ultime. Le crayon vient après, mais au pire, vous écrirez avec votre sang donc on peut dire que le carnet est vraiment le plus nécessaire. "Ouai mais on peut écrire dans une grotte!" Mais et puis quoi? Tu ramènes ta grotte chez toi dans ton cartable car elle te sert de pense bête? Non. Le carnet est l'équipement ultime que toute personne, souhaitant survivre dans ce monde sauvage ne laissant aucun repos, se doit de posséder et d'avoir sur soi en permanence.
Tout ça pour dire que j'ai déjà eu trois idée de notes depuis la dernière, et qu'à chaque fois, par mon inattention, mon inconscience face à de tels danger, je fus freiné dans mon élan par l'oubli.
La pire chose qui peut arriver, l'oubli.

Enfin bref, si votre culture cinématographique est suffisamment développée, vous saurez dans quel film on fait l'éloge du carnet. Il y est dit que le carnet est l'équipement le plus redoutable. Enfin bref, si, comme Guillaume, vous ne savez pas d'où cette ode au carnet vient. Bah vous êtes nuls. De sacrés bons gros nullards de première. Un peu comme Guillaume va-t-on dire. Mais c'est juste parce qu'il est à côté de moi quand j'écris une des si secrètes notes de ce blog inconnu et introuvable parmi toutes ces merdes qui circulent sur le net. La logique veut, que si t'es à côté de l'auteur, et que tu lis ce qu'il écrit, tu es obligé de trinquer.

Vous me trouvez cruel? Que nenni, le sujet, bien que blessé dans cette histoire, voit dans le fait d'être cité dans mon torchon personnel comme un honneur. Une source de réconfort pour les lépreux un peu en fait. Mais nous nous écartons un peu du sujet initial.
Si quelqu'un a des petits carnets de quand il était petit, vous savez, tout le monde en a eu, avec des petits dessins merdiques, des choses qui compromettraient jusqu'à même votre vie si n'importe qui le trouvait. "Oh c'est mignon, tu dessinais des râteaux à la place des mimines." L'HUMILIATION SUPRÊME!
Il est de rigueur de déchirer ces pages qui souillent votre carnet dans toute son innocence. Vous ne voudriez pas vous retrouver dans la situation suivante :
"Donc t'as écrit la liste de course dans ton carn.... oooh, c'est une ****? Non? C'est une voiture? Ah d'accord. T'étais douée quand t'étais gamine."
Et donc, après tout ça, vous aurez un petit note tout.

CHAPITRE 991 581 : De l'usage du carnet.

Les utilisations d'un carnet sont nombreuses, il est majeur de signifier la puissance psychologique d'un carnet. Si quelqu'un vous saoule en racontant toute sa daube, comme certaines personnes savent le faire ici, sortez votre carnet, et griffonnez n'importe quoi. La personne sentira que vous vouez une haine sans nom à la perte de temps que constitue son discours et vous vouera ainsi la même haine! GENIIIIIIIIAL!

Je tiens à remercier Guillaume qui corrigea 80% des fautes de cette note.

lundi 24 août 2009

Episode 83 - Hissez le drapeau blanc.

La pression est trop forte.
Face a l'arsenal de la puissance littéraire, moi, Docteur Hareng, suzerain de l'empire Personnel. Faible parmi les faibles face à la raison. Irraisonné dans mes actes et mes pensées. Je consens à abdiquer en faveur de Tamorky le raton laveur (mens pas on a un calendrier comme preuve).
Toutes ces contestations m'ont rendu las, ne rendant que plus grand le gouffre qui me sépare de mon rival. Après tant de posts, d'heures, de jours, de MAJ du blog de Boulet, de mois, de MAJ de blogs de certains dont nous tairons l'identité, d'années,... J'admets cette défaite qui est mienne.

Voyez-vous, quand on est confronté à la barbarie la plus infâme, aux pires des supplices, aux tortures sans-nom dont l'inquisition n'aurait eu idée en son temps. Voyez-vous, dans ces cas là, mieux vaut céder. Quitte à être trainé dans la boue.

Tout ça, parce que MÔSSIEUR trouve amusant de foutre une photo de Two Socks. Eh bah non, c'est pas loyal.
Y a pas de mot pour dire ce que vous êtes monsieur Toulouse... Y a plus de mots... Enculé. (si vous savez pas de quel film ça vient, votre troisième petit fils se cassera un ongle la vieille de ses vingt-trois ans)

Ceci mis à part, les projets vont bon train. Un remake de Zombi, le jeu (pour ceux qui le connaissent), est en cours. Et ce par nos bons soins. En gros, y a plus qu'à tester.

Sans plus tarder non plus des nouvelles de la banqueroute, elle est en train de fondre grâce au réchauffement planétaire. Rien qu'ici on en peut plus. Impossible de dormir. Du coup, c'est la fin, l'enchaînement, mass spam sur le net, partout et nulle part. A savoir qu'une nouvelle compil musicale vient de sortir du PC. Pour ceux qui n'ont pas les accès nécessaire pour entrer dans la Harengmobile, c'est peut être sans importance, mais pour les victimes l'holocauste que déclenchèrent mes précédents CD, sachez que c'est pire.

vendredi 21 août 2009

Episode 82 - Hymne à la moi.

Les critiques me descendent, elles tentent vainement de me ridiculiser, mais je n'en ai cure. Laissons ces vautours tenter vainement de saccager mon travail, mon œuvre. Laissons les s'extasier d'autosatisfaction. Laissons les croire à leur superbe. Puis, quand ils seront au sommet de leur égo, détruisons les fondations de leur confiance, de leur sûreté. Emprisonnons les dans la cage qu'ils ont eux même battit.
Enfin viendra le moment d'étancher notre soif de vengeance. Enfin nous pourrons sortir la tête des abîmes et marcher avec bravoure contre cette tyrannie de l'audimat et de la manipulation de l'opinion.

Car oui public, si aujourd'hui mon cœur saigne, c'est qu'il a été bafoué dans son honneur. Lui qui ne cherchait que la sympathie, l'amusement. Lui, dont le seul but était de vous faire passer le temps, fut traîné dans la boue. Je suis sous le choc encore. Alors que d'ors et déjà, sans remords, le Hérault funeste le plus retord s'amuse, tapis dans l'ombre de sa tanière, à dénigrer mon travail.

(Résumé des lignes précédentes : Amaury, tu fais chier. :])

Cliquez ici pour accéder à l'antre du mal.

Rien que dans le titre de ce torchon de blog, je me sens insulté. Moi, l'invexable et vénérable peluche associé par toutes à un nounours. Véritable coussin vivant. Édredon de mon État. Archange de la gentillesse et de la mignonneté. Révéré pour mes qualités de confort et de serviabilité. Acclamé pour mon humour fin et délicat. Adulé pour ma naïveté. Loué pour ma loyauté. Félicité pour mes qualités!
Bref, t'es pas très sympa Momo.

"Je m'explique: la première incarnation décide donc pour la seconde, celle ci sera donc EXACTEMENT dans le même état d'esprit que la suivante et ensuite totalement d'accord avec elle lorsqu'elle la rejoindra au conseil. Et ainsi de suite pour les incarnations suivantes."

Cette logique semble irréprochable de ta part. Mais tu semble cependant oublié l'essentiel. Les expériences vécues seront différentes, et ce dès l'enfance. L'état d'esprit du conseil changera bien évidement en fonction des circonstances afin de protéger son hôte. Prenons l'exemple simple, la deuxième incarnation. La première étant mauvaise et belliqueuse, influencera son hôte dans ce sens. Hors, avec cette attitude, il pourrait s'avérer que son entourage, au lieu de le craindre, se mette à le haïr. Le conseil devrait alors réagir en fonction, soit en soutenant se caractère, soit en en changeant. Si par exemple, la fille dont il tombe amoureux n'aime pas cette chose en lui, il devra changer, car même si son prédécesseur fut une brute sans nom, le fait de recommencer une vie ne voudra pas dire que son attitude restera identique.

Admettons dans le pire des cas qu'il garde le même caractère. Il pourra le regretter. Et ce sont ces regrets que l'âme emmènera avec elle en allant au conseil. Même si elle a fait le mal, elle ne souhaitera pas vivre la même chose qui ne lui a apporté que souffrance.

Pour ceci :
"Pour moi, si le temps de travail du conseil peut effectivement être juste celui de la réflexion, ce ne peut être celui du réflexe ou de l'impulsion."

Eh bien si, le conseil peut répondre très très vite. Soit par réponses pré-enregistrée : un 36Tonnes arrive en pleine nuit, pleins phares =>"rester statique et ne pas bouger" (on a pas dit que c'était intelligent tout le temps), soit car c'est rapide. Par exemple, quand on me propose une partie d'horreur à Arkham, ordre envoyé au conseil : "Ouaip c'était good jeu on a eu mass fun, je vote Oui", et ce à une vitesse éclair. Pas besoin de délibéré. Par contre, il est possible qu'un rectificatif arrive par la suite "Ouai mais en fait y a pas le temps là".

Pour expliquer la schizophrénie, on pourrait voir ça de différente manière. Soit car on voit des fragments d'une incarnation passée, soit car le conseil a fait un Putsch sur le QC (Quartier Cérébral, QG du cerveau), et là c'est le dawa, et le conseil y va de son imagination pour faire passer ce qu'il veut.
Quant aux dédoublements de personnalité, on peut aisément imaginer un membre de l'assemblé devenir suffisamment violent pour prendre les contrôles du système de réponse un moment, et ce afin de faire tout selon ses désirs personnels.

Ces cas sont extrêmement rares, mais ils arrivent.

Bon, sinon, personnellement, pour changer de sujet, laissez moi vous faire une compil de film que j'ai vu (revu pour presque tous) récemment. Idéale pour se saborder le moral. Pour ceux qui aiment bien se sentir de temps en temps déprimés. Quand vous aimez bien pleurer, trouver tout plus sympa. Toujours prendre du bon côté. Réfléchir. Aimer les gens. Je vous recommande donc :
-Gran Torino
-Into the Wild
-Danse avec les loups
-Virgin Suicides
-The Truman Show
-Byousoku 5 centimeter (dessin animé de 62mn 45sec, du pur bonheur)
-Big Fish
-Eternal Sunshine of the Spotless Mind
-Lost in Translation
-Broken Flowers
-American Beauty

Sur ce.
Bonne nuit, bonne soirée, bon week end,...

Dr Hareng, le mignon nounours gentil (putain mais stop les films tristes, je vais craquer).

lundi 17 août 2009

Episode 81 - Le concencus cérébral.

C'est une idée, qui m'est venue comme ça. Comment dire, de base, c'est pas compliqué, mais ça peut être sympa, et ça apporte des petites idées sympatoches... histoire de...

Enfin bon, on va quand même brièvement expliquer le principe de cette idée comme toutes assez personnelles, et ma foi, sans grande conviction aucune.

Quand quelqu'un meurt, il se réincarne (oui ça suppose aussi d'accepter le principe de réincarnation, ou tout du moins, de l'accepter le temps de cette explication). Quand il se réincarne, en humain, il prend place dans un lieu (admettons une salle pour les besoins scénaristiques de la réalisation) où siègent également toutes les précédentes vies.
Ces vies sont donc toutes réunies et partages leurs connaissances et leur savoir.

Pour la personne vivante, de telles choses n'ont aucune existence, et bien entendu, il existe une interaction entre cette chambre et le vivant. Par exemple, à chaque décision prise, une question est envoyée au conseil cérébral, et s'ensuit une délibération interminable. De l'ordre d'une réflexion pour le vivant. Durant cette réflexion, chaque vie antérieure donne son avis. Il parait évident que les penchants des précédentes incarnations influeront donc le personnage. Au final, le résultat est donné, et le choix de cette cour est celle du vivant.

Donnons plusieurs exemples ou plusieurs possibilités quant à ces réincarnations.

Quand on se réincarne, il est possible de revivre la même vie, peut être pas perpétuellement, mais ces vies ayant déjà été vécues, les effets de déjà vu seront important. Au fur et à mesure que le chemin s'éloigne du précédent, ces impressions de "je savais que ça arriverai" s'estomperont peu à peu.
Cela pourrait même expliquer les effets de "IHaveABadFeelingAboutThis" (=Ihabfat). Si cette personne a déjà été rencontrée, l'incarnation concernée donnera un avis qui ne sera pas nécessairement pris en compte, mais que laissera au moins une impression.

Au début, à la toute première vie, il parait évident que ce conseil devrait exister, ou alors, une feuille de papier vierge et modulable apparaitrait. En soit, ça ne contrarie rien, mais en allant plus loin dans cette idée, si elle devient mauvaise, à sa mort, elle sera la seule membre du conseil, décidant ainsi tout, et forçant le mal. Ça serait ici bien trop cerné pour faire concorder les deux idées.
Par contre, si plusieurs vies sont vécues simultanément, et que le conseil est, à la base, formé d'un certain nombre d'êtres; alors des idées comme les jumeaux, les âmes sœurs et autres s'expliqueraient de cette seule théorie.

Ouaip, ça c'était le quart d'heure philosophique.
Un poil sans queue ni tête, ni même ordonné, mais à quoi bon, c'est pas la revue scientifique ici.

Pour mes fans je serais demain de 9h10 à 10h00 au rayon fromage de l'intermarché des trois ponts à Chartres! Venez nombreux!

jeudi 13 août 2009

Episode 80 - Le duo destructeur.

Rien de mieux qu'un quatre-vingtième épisode pour signaler que j'ai eu un nouvel accident de voiture.
Et oui, les bons coups de poisse, et comme dans les bons coup de poisse, il y a toujours du bon. Par ailleurs que nous ayons planté la voiture de Matthias (son anonymat étant par ce fait préservé), nous étions :
-arrivés à destination;
-avec la maman de Matthias juste devant (et oui, comme on est plein, on avait deux voitures, et donc Matthias se crache dans la seconde cause pilage);
-assurés;
-tous les deux à l'avant du véhicule;
-vers midi.

C'est donc ainsi que pour la seconde fois que moi et Matthias avons un accident. A chaque fois, nous étions tous les deux à l'avant du véhicule.

Je propose donc, une fois n'est pas coutume, d'observer une minute de silence en la mémoire de la tuture de la mamie de Matthias. Nottons que contrairement à Titine première du nom, baptisée il y a des années de cela, Titine II, elle, n'a aucunement ses jours en danger, et elle devrait se remettre d'ici peu.

En epsérant, spectateurs, l'obtention de votre dévouement le plus total.

lundi 10 août 2009

Episode 79 - Vous y avez cru!

Eh bah non, je ne mettrais pas de compte rendu de ce magnifique séjour au pays de Galles. D'ailleurs je me demande si avec le temps qu'on a eu on peu appeler ça l'ouest Angleterre. Pour tout dire, j'arrive pas à avoir de sale temps. Donc c'est que finalement, y a quand même des ours polaires qui se noient dans des surfaces du mondes inconnues de la DFC.

Toujours est-il que l'alcool coule à flots ici bas. Des italiens vomissent dans les toilettes, et les marabouts ronflent comme des pissenlits un jour de pendaison de chamois. C'est le chaos. Comme d'habitude, je suis hors d'atteinte des effets négatifs de l'alcool. Certes les mauvaises langues diront que je ne bois rien. Mais c'est que je bois juste assez pour être joyeux et affectueux.
Et je profite de mon relatif bon état pour venir déverser le flot de merde de ma pensée à travers ce réceptacle infiniment gigantesque qu'est le net.

S'il est de mon devoir de citoyen de prévenir et d'alerter la populace; j'en profiterai également pour déconseiller Lesbian Vampire Killer, qui, malgré un titre alléchant, se révèle aussi intéressant qu'un clip de rap rempli de bimbos. A cette liste on rajoutera aussi les trains de nuit. Immondices inter-galactiques mais ma fois bien pratiques si on ne sait pas où crécher.

Je pense que malgré le faible contenu, le manque d'imagination, l'absence d'humour, l'orthographe pénible, la mise en place souffrante, le manque de vocabulaire certain, et l'intérêt néant, je vais m'arrêter là, me garder pour une prochaine note de qualité renforcée et souhaiter une bonne nuit à tous.

PS pour Yann : Nananananère!!!

Re PS car en fait, après relecture ce message me déprime : Je me sens de plus en plus en manque, avis à la population: cachez vos sœurs, enfermés vos filles et séquestrez vos mamans.

jeudi 6 août 2009

Episode 78 - Messages du front.

Il pleut, c'est le pays de Galles, donc pas vraiment de surprise. Les randos sont superbes, surtout que la chance naturelle du Dr. H. nous permet de ne pas avoir à supporter la pluie.
Notre hôte croyait nous connaître, grossière erreur. Il ne nous fallu que trois soirs pour l'écœurer avec des blagues lourdes, des calembours en permanence, des remarques gays, un vocabulaire des plus grossier. Bref, notre ribambelle de répliques pénibles était au rendez-vous.
Évidemment, il va de soi que je suis à même de donner des leçons en la matière. Je vous permettrais non seulement de vous faire remarquer par les filles, mais aussi, de faire un pré tirage. Une véritable sélection naturelle de filles pas trop niaises, car il est évident qu'une personne inapte à comprendre plus de la moitié de vos réflexions ne vous convient pas. De même, certaines fuiront, trop prudes pour apprécier vos blagues. Je ne dirais pas que dans le peu qu'il reste, il ne restera que les trainées, noooooooooooooooon, loin de moi ce genre d'idées. Pour la science, on dira qu'il y a 90% de personnes qui ne satisferont pas vos attentes en terme d'âme sœur. Après, ça dépend de ce que vous cherchez, comme d'hab. Mais si comme moi vous cherchez une fille avec un minimum d'humour, il faudra passer par là.
Comme d'habitude, la conversation a migré, mais je ne suis évidemment pas là pour raconter mes vacances, limite, ça, tout le monde s'en bat la nouille.
Dr.Hareng

Si vous aussi vous êtes fan du docteur Hareng, postez des messages de soutien.
Il est important de soutenir les projets maléfiques du Dr Hareng.
Ce service est facturé 16€34 la minute.

vendredi 31 juillet 2009

Episode 77 - Les couples.

J'aurais pu commencer cette note par "l'avantage d'être célibataire, mais c'est pas vraiment ça, donc on va dire que cette note n'a pas de début.

C'est toujours assez marrant de se retrouver en soirée avec des couples, des ex-couples. Ça donne dans les deux cas un petit élan de jalousie, mais suffisamment légère pour être ignorée, mais ça permet aussi pas mal d'observation que tout bon professeur d'université ou aventurier aurait souhaité voir au cours d'un périple dangereux dans la profonde jungle amazonienne. Bref, toujours est-il que c'est aussi intéressant que les caissières et que les personnes qu'on croise dans les supermarchés.

Voici donc le vif du sujet, les différents couples qu'on peut trouver :

-les GouziGouzi : Ils sont pénibles... très pénibles. Ils passent la majeure partie de leur temps à se faire des mamours, ce qui bien sûr horrifie tout le monde et à le don de provoquer la haine de tous.

-les Chiants : "Oh non, il peut pas venir à ta fête demain soir, il m'accompagne faire du shopping." ou aussi "Nan demain faut que j'emmène B.A. faire des courses." Globalement, un seul des deux parti est chiant, et c'est pas celui auquel on veut parler, c'est plutôt celui qui s'incruste partout pour ruiner une vie. Le plus souvent, les personnes qui les subissent ne s'en rendent pas compte. Il est important pour leur bien être de :
1- détruire cette relation
2- éclairer cette personne du mauvais côté de la force afin de la ramener dans le droit chemin
3- éliminer la source du mal.

-les OuinOuin : Ils passent leur temps à s'insulter, pleurer, se réconforter, pleurer moins fort, s'isoler. Véritables annihilateurs d'ambiance, ne les invités pas à vos soirées, vous le regretterez.

-les Ghosts : "Nan, vendredi on est chez la mère de Cél..., et samedi - dimanche, chez mes parents, après on va..." Comme leur nom l'indique, une fois mis en couple, vous ne verrez votre ami plus que tout les 36 du mois. La malédiction planant sur leur unions est très dure à briser.

-ceux que ça ne changent pas : Si les personnes sont les mêmes pendant leur vie de couple, et avant, soyez sûrs que cette histoire creuse déjà sa propre tombe. Vous pourrez même amenez votre pop-corn et profiter du spectacle.

-ceux qui ne vous présentent pas leur copine (alors que pourtant en plus ils pourraient)(aussi appelés CQNVPPLC(AQPEPIP)(AA~)) : Là, c'est votre amitié qu'il faudra remettre en question.

Bref, il doit en manquer un ou deux. Mais l'essentiel est là.

jeudi 30 juillet 2009

Episode 76 - Sur le départ.

Dans 24 heures, faudra que j'ai bouclé mes valises, cette tâche me parait colossale mais ça devrait aller. Au pire je prends sur mon sommeil, et je commence le voyage claqué. Ce à quoi certaines diront "ouai mais t'arrive fatigué pour me voir, c'est pas sympa!". Détrompez-vous! Le but de cette manœuvre est de, grâce à la fatigue accumulée, profiter des longs trajets pour dormir et ainsi arriver frais et dispo.
Donc petit séjour d'une semaine au pays de Galles, et après on enchaîne, squat chez Dust jusqu'au 16. De quoi être tranquille pour un bon moment, voir les amis, et pas les parents! \o/

Nous épiloguerons sur la qualité des relations dans ma famille, que l'on a rarement vu aussi glaciales.
Enfin bref. J'aurais la chance d'être épargné un moment supplémentaire car en plus ma sœur arrive le 20 août à la maison.

Enfin normal, c'est les vacances. Eh beh non, surprise, je suis toujours en stage!
Mais quand on est un glandeur, on s'assume.

dimanche 12 juillet 2009

Episode 75 - Pas de quartier.

Hier soir, on a été plusieurs à regarder le film "No Country For Old Man". J'ai bien aimé même si j'ai été un peu désappointé, c'est pas juste un film d'action et c'est vraiment un film beaucoup plus fin que ça.
Il s'avère qu'à un moment du film, le fugitif coupe de cintres en métal. Petit flashback, ça me fais revenir tout plein de souvenirs, dont le fameux capitaine Crochet, car comme beaucoup d'enfants, j'ai fait parti de ceux qui jouent au capitaine Crochet avec des cintres. Un loisir commun, et que je pensais pratiqué par tous.
Alors qu'en fait, la vérité parait beaucoup plus triste que ça, sur les 7 personnes qui regardaient le film, seulement trois jouaient à Crochet: moi, Amaury et Guillaume.

C'est pas tellement une déception mais plutôt une surprise, je me disais que tout le monde adorait jouer au méchant dans les films. Enfin pas forcément le méchant, parce que y a pas mal de film, on veut pas jouer le méchant. Mais disons que Peter Pan n'atteint vraiment pas le charisme de son ennemi juré, même en combinant le charisme de toute sa bande et de la fée. Aladin par contre, Jafar a du charisme, mais, pour un enfant de huit ans, quand même beaucoup moins qu'un génie tout bleu.
Donc comment se fait il qu'un gosse digne de ce nom, déconne pas à faire le capitaine Crochet dès qu'il vous un cintre. Je veux dire même aujourd'hui, avec douze ans de plus dans les dents, je continue à le faire parce que ça me fait marrer, et dans vingt ans encore, je suis sûr que ça me fera toujours marrer. Bref, un véritable gamin digne de ce nom.

J'espère au moins que des personnes se reconnaîtront dans cette note.